Le livre Vie et paroles du maitre philippe en pdf ou le Maitre philippe de lyon thaumaturge et homme de dieu pdf. Pour répondre à une demande de livre gratuit de Philippe de Lyon en pdf. Trouver un livre numerique de Philippe de Lyon en pdf, numérisé gratuitement, est une demande fréquente, lue aussi bien sur des forums que sur des blogs, ou sur divers supports proposés sur internet. Les réseaux sociaux ne font pas exception. Sont abordés les risques potentiels, comme les différences de contenus et enfin si Maitre Philippe peut en être l’auteur.
Il existe notamment en ligne: Une édition 1988 du livre « Thaumaturge et Homme de Dieu, ses prodiges, ses guérisons, ses enseignements » probablement parce que c’est un des livres les plus connus. Et un exemplaire du livre « Vie et paroles de Maitre Philippe« , qui s’avère être l’ouvrage le plus demandé ; devenu un véritable livre de chevet, pour un certain nombre de personnes. Pour cette dernière référence, il faut dire que depuis le début des années 2000, nous pouvons trouver cette publication, en intégralité sur un site internet, très connu, qui propose et met encore actuellement, à disposition, un très grand nombre de pages de livres qui, ne seraient pas forcément si facilement accessibles, dans les boutiques ésotériques.
Cependant, votre recherche ne peut aboutir Ou plutôt, ne devrait pas aboutir.
Dans tous les cas, les droits d’auteurs de ces ouvrages ne sont alors pas respectés: Aucun des auteurs des livres ainsi mis en ligne, n’est décédé depuis plus de 70 ans, période à partir de laquelle un ouvrage arrive dans le domaine public. Seuls des extraits sont possibles.
Risque de virus
Ajouter à cela, un risque pour la sécurité de l’ordinateur, ces documents peuvent être proposés sur plusieurs supports, certains sont des sites internet, potentiellement dangereux pour l’utilisateur non averti. Certains pirates se sont probablement dit qu’il était ainsi facile de s’introduire chez des utilisateurs du net, pas forcément au courant des possibles dangers se cachant derrière des documents mis à disposition gratuitement. Nous en parlons pour l’avoir testé à plusieurs reprises.
Certes aussi, ces deux livres contiennent un grand concentré de paroles, réunies en thématiques. Mais il y a des bémols à émettre sur ces versions numérisées….
Contenus différents
Nous notons ce qui a été écrit à de nombreuses reprises sur les commentaires, comme en articles sur ce site: Des illustrations sur le premier livre, ont en légende, l’année de la prise de vue, 2013. Or nous rappelons que nous sommes sensés être dans les pages d’un livre, numérisé certes, mais datant de 1988!
Nous pouvons d’ailleurs avancer une interrogation quant à la date de l’édition: il est indiqué 1988, comme année d’édition, pour le livre du Dr Philippe Encausse. Sauf qu’à notre connaissance, il n’existe pas de publication, dite grand public de ce livre pour cette année-là…?
En allant un peu plus loin dans la démarche, il n’est pas du tout certain que le contenu du livre, ou de ces livres, ait été respecté. Si on peut remarquer des soucis sur les images, ou plus exactement sur leurs légendes, nous n’osons pas imaginer le reste du contenu. Nous ne sommes pas à l’abri d’étonnements. Donc, pour les recherches sur ordinateur, la version numérisée peut être pratique, mais il est vivement conseillé d’avoir la version papier, pour pouvoir vérifier que le contenu du livre est identique à celui du pdf numérisé.
Pour ce qui est de l’exactitude des données, sur la version papier, ceci est un autre débat. Qu’elles s’affichent sur support livre ou document pdf, encore une fois, il est nécessaire de prendre une certaine distance avec la lecture que nous en faisons, Et la compréhension que nous pouvons en avoir. C’est bien connu, chaque lecteur a sa perception de ce qu’il ou elle lit, tout comme ce fut le cas des témoins de l’époque. Nous en aurions peut-être fait autant. Les filtres humains ne sont pas d’une qualité bien élevée, même s’ils sont de bonne foi.
Il est donc tout à fait possible que des phrases, contenues dans ces pdf, ne soient pas du tout de Philippe de Lyon…!
Nous en profitons, pour remercier d’avance toute source qui pourra nous informer, si des éditions du livre « Thaumaturge et Homme de Dieu, ses prodiges, ses guérisons, ses enseignements« , existent en dehors des années de publications connues.
Philippe de Lyon auteur
Pour finir, alors que nous faisons allusion au début de cet article, à un livre de Philippe de Lyon, supposant alors que Nizier Anthelme Philippe en serait l’auteur. Nous pouvons rappeler ici que pour autant que nous le sachions, Monsieur Philippe n’a pas laissé d’écrits derrière lui, du moins, en dehors de courriers ou de notes, ou de carnets chiffrés, tels qu’ils sont évoqués par des illustrations dans « Enseignements oraux de M.Philippe de Lyon« . Il serait plus logique d’évoquer « un livre sur le sujet Philippe de Lyon » plutôt qu’un « livre de Philippe de Lyon auteur ».
Une liste des ouvrages papiers est répertoriée dans la bibliographie. Ce site ne donnera pas de liens ni la possibilité de trouver facilement ou pas les documents numérisés. Ils ne pourront pas non plus être proposés en commentaires.
Trouvez-vous normal que ces livres existent en pdf? Etes vous prêt à l’acheter en ayant une version pdf?….Encore faut-il pouvoir trouver un livre… Autant de questions ou de thèmes à aborder sur ce sujet
Modification: il existe bel et bien une édition 1988 papier, du livre « Thaumaturge et Homme de Dieu, ses prodiges, ses guérisons, ses enseignements » mais qui ne comporte pas d’illustration de 2013 pour autant… Que nous pouvons retrouver dans la bibliographie.
Des paroles sont publiées sur la page Facebook de ce site.
Trouver un livre des paroles ou d’enseignements de Philippe de Lyon? Quelqu’un pourrait-il me conseiller un ouvrage en particulier, riche des propos du Maitre Philippe de Lyon? Cette question a été posée sur un forum et m’a semblée tout à fait d’actualité, et pas hors sujet du tout. Elle a, en plus le mérite de permettre de tenter d’y voir un petit peu plus clair dans la « jungle »…..des livres sur le sujet qu’est Monsieur Philippe.
Comme le relate Trouver un livre de Philippe de Lyon, Il faut déjà en trouver un. Or, plus les mois passent, depuis la publication de l’article, plus les très rares livres se trouvant en rayons de quelques librairies ésotériques, se vident. Du moins pour les livres visibles sur les étagères… Quand ils ne le sont pas et qu’ils se trouvent au ras du sol, comme c’est le cas de certaines boutiques, ils ne sont pas en effet visibles et donc ne se vendent pas. Nous avons alors des chances d’en trouver. Vous en trouverez alors 5 ou 6 dans le meilleur des cas. Cela dépend où évidemment. Pour une fois, à Paris, dans notre bonne vieille capitale…….On peut toujours chercher…..Mais, mis à part au ras du sol dans la librairie des bords de la Seine, Joseph Gibert, rayon ésotérique, on n’en trouve plus. L’autre source, bien connue des habitués, La librairie du Graal, au moment de la rédaction de cet article est en train de fermer ses portes… Donc Paris est, pour une fois, mal loti. Mais « la plus belle ville du monde » n’est pas la seule…
Avant, il y en avait même à la Fnac….mais ça, c’était avant….Il y a longtemps, bien longtemps…..cela remonte….au siècle dernier…1999
Meme sur internet, cela devient difficile. Le nouvel âge a probablement mieux communiqué. Mais cela est déjà relaté sur l’article pré-cité.
Aujourd’hui, pour conseiller un livre riche en paroles de Philippe de Lyon…
Ce site explique sur nombre d’articles, sans compter les commentaires, que les témoignages qui nous sont parvenus, ne sont pas à prendre au pied de la lettre, selon l’expression consacrée. C’est le moins que l’on puisse dire. Comptes tenus des éléments fournis par les différents livres, sans omettre la séance commune relatant des paroles inédites, nous ne pouvons conseiller de livre riche…en vraies et authentiques paroles de Philippe de Lyon.
Même dans ce domaine, comme dans la plupart des données, qui touchent à Nizier Anthelme, les paroles, pas plus que les actes, ne sont à prendre au sens premier ; tels qu’on les lit.
A été démontré en effet, que les déformations sont telles, sans compter les ajouts de toutes natures, que même la séance commune, ne réunit que très peu d’éléments en communs….Très peu. Alors que la plupart des livres, contiennent par exemple des paroles citées dans cette même séance.
D’autant plus que tous les ouvrages n’ont pas suivit la meme ligne en matière de parution et surtout de publications des phrases qu’auraient dites Monsieur Philippe. Dans les premiers livres par exemple, il a été choisit de les classer par thématique. Le choix pour les plus récents étant plutôt de classer par date. Et d’enlever ou d’ajouter, selon les éditions, des passages ou des extraits de séances. Le dernier Enseignements oraux de M.Philippe de Lyon a choisit, lui, de publier l’intégralité de ce qui avait été publié par l’un des premiers livres Le Maitre Philippe de Lyon Thaumaturge et Homme de Dieu, ses prodiges, ses guérisons, ses enseignements.
On ne peut donc pas affirmer que les phrases lues soient réellement de Monsieur Philippe. D’autant plus que certaines surprennent à un tel point que l’on ne saurait dire si la phrase est extraite d’une parole adressée à une personne dans le privé, ou, ce qui surprendrait, mais après tout, nous pouvons l’envisager, dans le cadre d’une séance….
Donc pour proposer un livre riche de paroles ou d’enseignements……
Cependant, certains contiennent des paroles ou enseignements, et d’autres, pas du tout. Mais seuls sont nommés, ou essentiellement sont cités les ouvrages contenant des paroles dans les articles…
Quelle lecture proposeriez-vous? quel livre pourrait d’après vous, apporter une réponse à la question posée?
Rien de tel qu’un poème de Victor Hugo cité dans un livre sur Maître Philippe de Lyon…
Dans l’ouvrage « Monsieur Philippe de Lyon, Album souvenir 1905-2005« , page 41, nous sommes surpris de trouver un extrait d’un poème d’un des auteurs les plus célèbres de l’époque: Victor Hugo. Connu notamment pour ses écrits en général, et des romans épinglants une société déjà bien abimée par les inégalités, les poèmes ne sont pas en reste, en matière de dénonciations de ce qui choque ou blesse, cet exceptionnel talent littéraire de la fin du XIXe siècle.
Lire des vers, extraits d’un poème, plutôt long, émanant d’un si grand écrivain, dans un livre contenant quelques photocopie de photocopies d’illustrations sur Philippe de Lyon, étonne quelque peu. Mais voici la publication issue du livre:
« Va cueillir, villageoise, La fraise et la framboise Dans les champs, aux beaux jours. À huit milles d’Amboise, À deux milles de Tours, Le château de l’Arbresle, Roi de ces alentours, Se dresse avec ses tours, Ses tours et ses tourelles. Va cueillir aux beaux jours La fraise et la framboise, À huit milles d’Amboise, À deux milles de Tours, C’est là que sont les tours, Les tours et les tourelles Du château de l’Arbresle Bien connu des vautours. »
Qui d’ailleurs, dans le cadre du livre qu’est l’album souvenirs, est raccourcit à une seule strophe comme nous allons le constater en suivant.
Voici à présent, la publication d’origine:
« I Va cueillir, villageoise, La fraise et la framboise Dans les champs, aux beaux jours. À huit milles d’Amboise, À deux milles de Tours, Le château de l’Arbrelles, Roi de ces alentours, Se dresse avec ses tours, Ses tours et ses tourelles. Va cueillir aux beaux jours La fraise et la framboise, À huit milles d’Amboise, À deux milles de Tours, C’est là que sont les tours, Les tours et les tourelles Du château de l’Arbrelles Bien connu des vautours.
II
Cueillez, Jeanne et Thérèse, La framboise et la fraise, Rions, dansons, aimons, Le ciel en est bien aise, Moquons-nous des sermons. Le château de l’Arbrelles, Qu’en chantant nous nommons, Dresse sur ces vieux monts Ses tours et ses tourelles, Rions, dansons, aimons, Cueillez, Jeanne et Thérèse, La framboise et la fraise, Moquons-nous des sermons. Là-bas, sur les vieux monts Se dressent les tourelles Du château de l’Arbrelles Bien connu des démons.
III
Cueillez filles d’Amboise, La fraise et la framboise. Les démons, les vautours, Ont changé de figure Depuis les anciens jours. Tours de sinistre augure, L’herbe croît dans vos cours, Croulez, vilaines tours ! Le ciel en est bien aise. Aimons, les ans sont courts, Cueillez, Jeanne et Thérèse, La framboise et la fraise. Ô belles, mes amours, Pour piller vos atours, Pour vous emplir de flammes, Les démons sont nos âmes, Nos cœurs sont les vautours. »
La surprise est suffisamment grande pour étudier d’un peu plus près le sujet. Nous allons donc nous renseigner auprès de personnes spécialistes du sujet. Ces dernières nous informent, que dans ce poème en tous cas, il n’est nullement question de la commune de l’Arbresle ; celle de la région lyonnaise. En voici les raisons, autant orthographiques que géographiques.
L’orthographe
La différence entre les deux versions, réside outre la longueur, surtout dans l’orthographe d’un mot. Un seul mot. Celui du nom d’une commune: l’Arbresle, qui entre autres différences, prend deux LL, Comme nous pouvons le constater, dans l’oeuvre d’origine. Dans l’extrait inséré dans le livre, il perd la lettre. Ce qui, dans le cas qui nous occupe, permet de donner l’impression que Monsieur Hugo se serait intéressé à la commune où vécut Monsieur Philippe.
La localisation géographique ensuite
Or Victor Hugo n’a pas écrit sur la commune distante d’une trentaine de kilomètres de l’agglomération lyonnaise, mais sur un village situé lui, en Touraine, dénommé effectivement Arbrelles (avec deux L). Nous pouvons d’ailleurs noter que les communes citées par ailleurs dans ce texte, sont effectivement aux distances indiquées dans les vers suivants, de la petite ville située elle, près d’Amboise. il existe d’ailleurs un fort beau domaine de l’Arbrelles, toujours dans la région de cette magnifique vallée de la Loire, mais il ne faut pas le confondre avec le château de l’Arbresle, situé lui à une petite distance de Lyon, même si, ce dernier fut à une époque, lui aussi, un superbe domaine.
Nous sommes plusieurs à avoir constaté et fais vérifier les mots exacts du poème. Le texte d’origine a qui plus est, été écrit lui, d’après les sources, en 1876, dans un ouvrage publié après la mort de l’écrivain, avec le titre: « Toute la Lyre ».
Et ce, même si…
Victor Hugo a en effet notifié, mais dans un tout autre contexte, bien des années avant, le chateau de l’Arbresle, avec, nous le notons, un seul « L » cette fois-ci, bel et bien situé lui, sur la commune proche de Lyon, en faisant référence en l’occurrence au chateau qui domine le village. Sans aucun rapport pour autant avec Philippe de Lyon. Cet écrit, dont voici un extrait, reproduit en clair ci-dessous, contenant l’allusion à la démolition du chateau de la commune, est qualifié de pamphlet à l’époque. Hugo marque à sa manière, sa notable hostilité, comme il sait si bien le faire, à l’encontre de la remarquée disparition, à l’époque, de nombreux monuments historiques, sur tout le territoire français: « …La belle église romane de Saint-Germain des Prés, d’où Henri IV avait observé Paris, avait trois flèches, les seules de ce genre qui embellissent la silhouette de la capitale. Deux de ces aiguilles menaçaient ruine. Il fallait les étayer ou les abattre ; on a trouvé plus court de les abattre. Puis, afin de raccorder, autant que possible, ce vénérable monument avec le mauvais portique dans le style de Louis XIII qui en masque le portail, les restaurateurs ont remplacé quelques-unes des anciennes chapelles par de petites bonbonnières à chapiteaux corinthiens dans le goût de celle de Saint-Sulpice ; et on a badigeonné le reste en beau jaune serin. La cathédrale gothique d’Autun a subi le même outrage. Lorsque nous passions à Lyon, en août 1825, il y a deux mois, on faisait également disparaître sous une couche de détrempe rose la belle couleur que les siècles avaient donnée à la cathédrale du primat des Gaules. Nous avons vu démolir encore, près de Lyon, le château renommé de l’Arbresle. Je me trompe, le propriétaire a conservé une des tours, il la loue à la commune, elle sert de prison. Une petite ville historique dans le Forez, Crozet, tombe en ruines, avec le manoir des d’Aillecourt, la maison seigneuriale où naquit Tourville, et des monuments qui embelliraient Nuremberg. A Nevers, deux églises du onzième siècle servent d’écurie. Il y en avait une troisième du même temps, nous ne l’avons pas vue ; à notre passage, elle était effacée du sol. Seulement nous en avons admiré à la porte d’une chaumière, où ils étaient jetés, deux chapiteaux romans qui attestaient par leur beauté celle de l’édifice dont ils étaient les seuls vestiges. On a détruit l’antique église de Mauriac…. » extrait de 1825-1832 Guerre aux démolisseurs de Victor Hugo
Le curé d’Ars et Monsieur Philippe de Lyon: légende ou (im)possible réalité? Certains livres avancent le fait que Marie Philippe, a rendu visite au curé d’Ars, pendant qu’elle attendait son premier enfant ; le futur Nizier Anthelme Philippe. Jean-Marie Vianney lui aurait alors annoncé la naissance d’un fils très élevé. Nous ne cherchons pas à affirmer que cette hypothèse est forcément impossible, mais à seulement établir que l’on peut avoir des doutes sur certains aspects de cette histoire.
Historiquement, les faits sont possibles
Du point de vue de l’histoire, cette histoire peut s’être déroulée, quelque part, entre le deuxième semestre 1848 et début 1849. Jean-Marie Vianney exerce en effet son ministère depuis déjà des décennies. Sans prétendre en quoi que ce soit, brosser une quelconque esquisse de ce que fut cette personnalité extraordinaire, notre propos est d’approcher en quelques mots, pourquoi Marie Philippe née Vachod pouvait avoir bien des raisons de se rendre auprès du celui qui allait devenir un des Saints les plus célèbres de France. Pour se faire, voici un extrait de ce que nous relate le site du Vatican, que nous avons choisit, en regard de soi-disants propos émanant du Pape Jean-Paul II sur le sujet, repris ici et là sur internet:
« …Jean-Marie Baptiste Vianney est mort à Ars le 4 août 1859, après une quarantaine d’années de dévouement épuisant. Il avait soixante-treize ans. A son arrivée, Ars était un petit village obscur du diocèse de Lyon, aujourd’hui de Belley. A la fin de sa vie, on y accourait de toute la France, et sa réputation de sainteté, après son rappel à Dieu, a vite attiré l’attention de l’Église universelle. Saint Pie X le béatifia en 1905, Pie XI le canonisa en 1925, puis, en 1929, le déclara saint patron des curés du monde entier. Lors du centenaire de sa mort, Jean XXIII écrivit l’encyclique Sacerdotii nostri primordia pour présenter le Curé d’Ars comme modèle de vie et d’ascèse sacerdotales, modèle de piété et de culte eucharistique, modèle de zèle pastoral, et cela dans le contexte des besoins de notre temps…. »
Nous pouvons alors comprendre que les pèlerins se déplacent, quand ils le peuvent, pour aller avant tout, voir le curé et, assister à une messe et se confesser.
Il y a donc au moins une trentaine d’années, en 1848, que la commune d’Ars et son petit curé sont connus. Même si les villageois ne se déplacent que très peu, voire très rarement, ils ont entendu parler de tout ce qui se passe à Ars.
Le monde rural est, le plus souvent, en situation de grande précarité. La plupart des habitants ont l’habitude de se « serrer la ceinture » selon l’expression consacrée. Le mode de vie peut y être extrêmement rude.
Alors voyager……. L’histoire, ou plus précisément, le contexte historique, dit même que les premiers trains circulent. Oui, certes, mais à quel prix? Sans compter un tout petit nombre de dessertes. Seules en effet, certaines grandes villes sont concernées La première gare de Lyon par exemple n’ouvrira qu’en 1884. Or, le fait qui nous occupe remonte à 1848-1849, et qui plus est, se situe en pleine campagne.
Voyager coute cher
N’est-Il pas dit dans les livres, que la famille a très peu de moyens? Nous trouvons « famille modeste », quand ce n’est pas « de pauvres paysans », à peu près partout. Cet aspect économique n’est évidemment pas négligeable. Si nous lisons quelques témoignages des particuliers qui peuvent rendre visite au curé, il est dit, que les habitants qui n’ont pas les moyens d’un tel voyage, chargent d’un message à l’attention de Jean Marie Vianney, le chanceux, ou la chanceuse, qui a la possibilité de pouvoir se rendre à Ars.
En 1849, nous sommes encore loin de l’arrivée d’un quelconque train, même à Lyon. La plupart des habitants, ne sont jamais sortis de leur village. Nous trouvons même une allusion à cet état de fait, dans le livre « Révélations, Entretiens spirituels sur le Maitre Philippe », dans une partie relative aux « différentes facettes de la vérité ».
A la vue de ces éléments, nous ne pouvons donc, raisonnablement, envisager que Mme Philippe ait emprunté ce moyen de transport, pour se rendre du lieu-dit Rubatier, au village d’Ars. Peut-être s’y est-elle rendue à pieds. Mais cette probabilité est peu envisageable, même si nous tenons compte du fait que le curé d’Ars voyageait, selon les récits, de cette façon ; quelque soit la distance. Des heures de marche séparent les deux communes.
Pourtant, le fait de cette révélation est relaté, et répété dans les premiers livres. Très peu de différences entre les versions….Pour une fois.
Dans les livres
Voici en effet ce que nous rapportent ces lectures: « Vie et paroles de Maitre Philippe« : « Lorsqu’elle l’attendait, sa mère fit une visite au curé d’Ars qui lui révéla que son fils serait un être très élevé. Lorsqu’approcha le moment de la naissance, elle se mit à chanter en tenant à la main une branche de laurier. Il faisait un orage épouvantable ; on crut un moment que le village allait être emporté. Puis on vit une grande étoile très brillante. On revit cette étoile le jour de son baptême qui eut lieu à l’église de Loisieux, et le curé en fut frappé. »
« Maitre Philippe de Lyon, thaumaturge et Homme de Dieu » quant à lui nous dit: « Né de parents français – Joseph PHILIPPE (1819-1898) et Marie née Vachod (1823-1899) – Nizier Anthelme PHILIPPE vint au monde, en 1849 {9}, au lieu dit « les Rubatiers » hameau d’un petit village de la Savoie, nommé « Loisieux », près de Yenne, à la limite du département de l’Ain. Cette naissance eut lieu dans une humble maison de paysans pauvres. Pendant toute la durée de l’accouchement proprement dit Marie Philippe qui, antérieurement, avait rendu visite au saint Curé d’Ars, pleine d’allégresse, chanta doucement ; elle ne ressentait aucune douleur {10}. Le curé d’Ars lui avait d’ailleurs annoncé que son fils – car il avait parlé d’un fils et non d’une fille – serait un être très élevé. »
Nombre de témoignages et récits existent sur et autour du sujet du saint curé d’Ars. Peut-être y figure-t’il un passage relatif à cette visite? Le propos n’étant pas de déclarer, et encore moins d’affirmer l’impossibilité de cet évènement. Le doute étant quelque peu permis, si quelqu’un peut apporter une preuve, un élément, une donnée ; il serait bien d’enrichir le sujet avec une source fiable.
Sans totalement sortir du sujet, pour le cas où la question se poserait d’une éventuelle rencontre entre le curé d’Ars et Monsieur Philippe, Nizier Anthelme avait 10 ans au moment du décès, le 4 aout 1859, de Jean-Marie Vianney…
Nous terminerons avec une citation, malheureusement d’actualité, du « Petit curé d’Ars » « Laissez une paroisse vingt ans sans prêtre : on y adorera les bêtes. »….
Sources:
Les livres sont listés dans la bibliographie L’image du haut est extraite d’une video L’illustration du bas est une photo faite par un ami du site.
La thèse de Monsieur Philippe D’Arbresle peut-être déjà appelé Maître Philippe ou la thèse de doctorat de Nizier Anthelme Philippe de Lyon
La thèse de doctorat en médecine du Docteur Philippe d’Arbresle, fait Chevalier de l’Ordre du Christ….. Cette « thèse » dont la couverture affiche le nom Philippe d’Arbresle, mais signée à la fin du dernier feuillet, Nizier Philippe, est datée de 1884, du 23 octobre, pour être exacte.
Son « auteur », Philippe de Lyon, n’est pas encore surnommé « Maître Philippe ». Pour l’heure, Il guérit et soulage, riches et pauvres, depuis plus d’une décennie, selon des livres, dans le quartier de Perrache à Lyon. Nombre de guérisons, plus impressionnantes les unes que les autres forgent sa réputation, tant en France que dans une partie de l’Europe, Italie, Allemagne, Angleterre notamment.
C’est à cette époque qu’il a été élu au conseil municipal de l’Arbresle, dont il ajoute d’ailleurs le nom au sien, en couverture du document: d’Arbresle. N’oublions pas, que c’est également à cette période, du moins si les dates sont correctes, que vont s’installer les séances, à Lyon, 35 rue Tête d’or…..Sans compter un certain nombre de remises de décorations ou diplômes … Cette période est donc chargée pour Nizier Anthelme. Mais n’est-ce pas le cas finalement depuis son arrivée à Lyon?
Seulement voilà, guérir sans diplôme officiel, délivré par une faculté de médecine, ouvre la voie à toutes les attaques possibles. Entre deux titres honorifiques, qui lui sont délivrés par des gouvernants étrangers, ou des groupements plus ou moins discrets, tentant de trouver une solution pour permettre à Philippe d’exercer, il y a peut-être la tentation d’obtenir un titre, un tant soit peu honorable. Ce qui peut alors justifier que l’on trouve une thèse de doctorat en médecine présentée par N. A. Philippe, d’Arbresle pour la circonstance. Elle ne fait l’objet que de très peu d’allusions dans les livres. En effet, en dehors de deux d’entre eux, il est constamment fait référence aux études de médecines tentées en 1874-1875, qui, selon ces même sources voient Nizier Anthelme etre purement et simplement éjecté de la faculté. Mais pas un mot sur ce document, qui pourtant porte le nom de l’auteur: Monsieur Philippe.
Nous en avons trouvé un exemplaire réédité en 1995, par le Cirem, sous la direction de Robert Amadou, qui en a fait un livret, comprenant, un avant-propos de sa propre plume, la thèse de Monsieur Philippe, et un encart. Monsieur Amadou précise notamment dans l’avant-propos qu’il n’a probablement pas été tiré d’autre(s) exemplaire(s) du document d’origine, édité donc en 1884.
Cette réédition est un fascicule de 67 pages portant d’ailleurs le titre effectif de « la thèse de Monsieur Philippe », probablement instauré également par Mr Amadou. Ce n’est pas d’ailleurs la thèse en elle-même qui va être évoquée ici, mais sa présentation.
Point n’est donc besoin de revenir sur la première partie, écrite par le fondateur du Centre International de Recherches et d’Etudes Martinistes, dont la compétence et l’honnêteté du propos n’ont d’égales que l’érudition exprimée en toute humilité sur l’introduction d’un document, qui semble l’interpeller de façon notoire.
Plusieurs éléments le laissent manifestement sur des questions qui ne trouvent pas de réponses, en tous cas, pas dans la thèse elle-même. Son contenu ne rappelle pas plus que cela ce que nous lisons habituellement de Monsieur Philippe. D’autres auteurs émettent eux aussi des réserves sur cette étude ; notamment Serge Caillet ou encore Jean Prieur, cités dans la bibliographie, pour le premier, et dans les auteurs évoquant le guérisseur Philippe pour le second. Dans le même temps, pour ce dernier point, compte tenus du nombre de données remises en questions sur ce site, peut-être les propos tenus dans ce document, sont-ils de Nizier Anthelme….
Cependant, même si ce document semble fictif sur bien des aspects, il se révèle, comme nous allons le voir, en revanche fort instructif sur plusieurs éléments, dont nous n’avons jamais lu grand chose concernant Philippe.
Nous sommes intrigués, essentiellement par ce qui fait office, pensons-nous, de première page de la thèse. On trouve les indications, de l’université dans le cadre de laquelle la thèse est « présentée » , le titre de l’étude, le nom du candidat, sont ensuite indiqués ses précédents diplômes ou titres et pour finir, l’éditeur, qui se trouve à Toulouse (?).
Nous allons commencer par cette université américaine, qui d’après notamment Robert Amadou est purement fictive. Nous noterons que cette formation, de quelque nature qu’elle soit, est américaine, ce qui sous-entend…..
Nizier Philippe parle anglais.
Il est même sensé parler suffisamment couramment la langue pour écrire une thèse de fin de cycle d’études médicales, dans la langue de Shakespeare….! Nous n’avons pourtant aucun souvenir de langues étrangères parlées par Philippe. Si nous en croyons ce document, il a donc nombre de professeurs avec lesquels il va échanger, tout à fait régulièrement ; sur plusieurs années… Il s’agit en effet tout de même d’une thèse, d’un examen de fin d’études qui clôture des années d’enseignements reçus. Or, nous n’avons trace nulle part, dans aucun livre, de ces années d’études, en anglais qui plus est. Ce n’est peut-être pas le cadre le plus sérieux pour obtenir un diplôme qui pourrait être reconnu, autant par les Etats Unis -du fait de l’hypothétique Université américaine- que par la France.
Nous avons ensuite, la liste des précédents titres de Nizier Philippe, qui nous réserve, dès la première ligne, une surprise de taille:
Ancien élève des hôpitaux de Paris et de Lyon
Depuis quand Monsieur Philippe a-t’il suivi des cours de la faculté de médecine à Paris?? Nous avons les indications publiées dans à peu près tous les livres sur les quelques cours suivis à Lyon, ou plus exactement, sur les guérisons réalisées. Mais Paris!? Cela pourrait même sous entendre, que peut-être il y a vécu. Nous avons tout de même l’intitulé: ancien élève des hôpitaux de Paris …?!
Au point où nous en sommes de trouver des données dont la teneur n’a plus tellement de crédibilité, celle-ci pèse un certain poids.
Diplômes, titres et décorations
Nous trouvons ensuite la liste de quelques diplômes, titres et décorations. Il est même indiqué « etc etc » à la fin de la liste, indiquant clairement que la liste est manifestement -nettement?- plus longue. Nous sommes alors un peu éloignés du portrait habituel de Monsieur Philippe présenté dans les livres. Le « listing » des décorations est déjà tout à fait conséquent, sans compter celles dont nous n’avons pas connaissance. Et nous ne sommes qu’en 1884.
Cette liste de titres est donc bien plus instructive qu’il n’y parait au premier abord. Elle nous dit clairement que Monsieur Philippe est Chevalier de plusieurs ordres, qu’il est officier d’autres ordres…! L’un d’entre eux le consacre « Lauréat de l’institut médical de Toulouse », dont il se trouve que nous avons trouvé trace sur internet, via un journal. Le titre lui a été remis, précisons-le, six mois seulement avant cette soutenance de thèse et impliquant qui plus est, les mêmes personnes que nous allons trouver en dédicace de la thèse…..
Nous avons ensuite une page dédiée aux enseignants qui faisaient office de jury d’examens. Peut-être y a t’il des personnalités importantes pour Monsieur Philippe dans ces noms, mais nous n’avons pas de données sur cet élément.
La page suivante nous apporte une liste de toutes les personnes auxquelles est dédicacée ce travail. En dehors de la famille, les personnes figurant sur ces lignes, sont toutes des personnalités rencontrées dans les années précédentes, qui sont manifestement proches de lui, puisqu’il est quand meme question de donner des familiarités à plusieurs d’entre elles. Ces personnes sont suffisamment importantes pour Nizier Anthelme pour qu’elles se retrouvent en dédicace sur la thèse….! Ce n’est quand meme pas rien et très probablement pas innocent. Monsieur Philippe est en effet en contact depuis quelques années, avec des gens très aisés, et surtout avec des personnes extrêmement importantes, pour certaines, ou pensant l’être, pour d’autres.
Nous prenons la liberté d’ajouter une anecdote qui ne manque pas de piquant: Pour en revenir au titre précédemment cité: « Lauréat de l’institut… », remis dans le cadre d’un banquet mesmerien, qui s’est déroulé juste quelques mois plus tôt, en mai 1884, au cours duquel était présentes plusieurs personnes figurant dans les dédicaces de la thèse ici présente….
Dont par exemple, le Docteur Surville, organisateur du-dit banquet, en tant que directeur de l’Institut Médical de Toulouse. Lequel médecin est en contact direct avec le Dr Durville à Paris, connu notamment pour son amitié avec un certain Papus Gerard Encausse. Les docteurs Encausse et Durville vont, dans quelques années, créer l’école pratique de magnétisme et de massage, en 1893, qui sera elle, située à Paris… Une école secondaire, ouvrira à Lyon, en 1895, sur l’insistance de Papus, sous la direction de…Philippe de Lyon, elle fermera en 1898.
Une petite place à l’actualité historique est faite ici, pour préciser qu’à l’époque de « la présentation » de cette thèse, un texte de loi est en train de passer, qui sera confirmé et amplifié par la future loi du 30 novembre 1892: « Une loi proscrivant le libre exercice de la médecine, qui va entrer en vigueur dans quinze jours, et au droit pour tous les guérisseurs de soigner leurs semblables » source : le Matin de 1884 -accessible en ligne- L’exercice de toute forme de soins prodigués hors du diplôme de docteur en médecin délivré par le gouvernement français, s’en trouve codifié et réglementé, de façon tout ce qu’il y a de plus sérieuse. Voici les premières lignes du texte de 1892: Qui stipule dès son article premier: « Nul ne peut exercer la médecine en France s’il n’est muni d’un diplôme de docteur en médecine délivré par le gouvernement français, à la suite d’examens subis dans un établissement d’enseignement supérieur médical de l’État -Facultés, Écoles de plein exercice et Écoles préparatoires…..- » Dans le cadre de l’enquête sur ce texte de loi, une découverte notable, de plus, est faite: L’un des intervenants dans ce texte de loi…..N’est plus ni moins que le professeur Brouardel! Pour mémoire, nous retrouvons ici, un des professionnels de la médecine qui a fait parler de lui, dans au moins deux livres sur Philippe de Lyon: « Maitre Philippe de Lyon Thaumaturge et Homme de Dieu » et « Vie et parole de Maitre Philippe » puisque c’est ce même médecin qui, selon ces ouvrages, est venu assister, en personne, à une séance de la rue Tête d’Or! Il devait ou voulait se rendre compte par lui-même de ce qui lui était rapporté de guérisons inexpliquées…..Il aurait assisté à un phénomène suffisamment extraordinaire pour lui permettre de dire: « Ce qui vient de se passer est inexplicable par les lois scientifiques actuellement connues ; je ne puis que m’incliner » A préciser que cette visite se serait déroulée, bien des années après, environ 10 ans plus tard, sur les demandes parait-il insistantes de Nicolas II, Tsar de Russie, de faire délivrer un titre de Docteur en médecine à Monsieur Philippe… Il dit s’incliner, mais n’interviendra pas pour autant, du moins, en l’état actuel de nos connaissances, pour faire aboutir les demandes du Tsar. Ce sera là aussi l’occasion de remettre un autre titre honorifique, de lui donner le diplôme de Docteur en médecine, russe cette fois, à Philippe de Lyon… Les textes régissant le ou plutôt les métiers touchant à la santé, sont en train de connaitre un virage très important.
L’école de magnétisme va même se réunir, au siège parisien, sans Papus, dont l’absence est remarquée par la meme source du Matin, pour lutter contre ce texte….! Nous sommes, il faut le dire, dans une époque, au cours de laquelle les médecins ont la crainte de perdre de la clientèle qui pourrait être tentée d’aller voir vers d’autres praticiens; notamment vers des guérisseurs. C’est aussi l’époque de la naissance des premières mutuelles, et du droit à la création des syndicats de médecins. Donc dans une période de grand chamboulement social et médical. Nous apprenons en effet que le nombre de cabinets de « guérisseurs » augmente suffisamment pour inquiéter notoirement le pouvoir médical. Les ouvertures vont être multipliées par 3, rien que sur la ville de Lyon, en l’espace de très peu d’années. Deux d’entre eux, seront même, dans un futur proche, des « élèves » de l’école de magnétisme lyonnaise dirigée par Philippe, à laquelle il est fait allusion plus haut…! Il y a donc encore moins de raison de laisser en paix Nizier Anthelme Philippe.
Pour conclure, se situe, à la fin du livret, un encart d’une page, consacré à la farine brésilienne, signé de l’éditeur de la première édition de la thèse de 1884: Jules Pailhes à Toulouse Nous nous trouvons devant un hommage à la composition de cette farine, dont plusieurs éléments viennent du Brésil… Est-ce à dire que Philippe s’est également rendu au Brésil? Pour étudier et emporter différents composants de ce qui devient un produit précieux vendu en pharmacie. Il faut préciser, que cette farine sera l’un des objets du titre que nous venons d’évoquer, remis à Nizier Anthelme Philippe, qui devient pour l’occasion: Docteur Philippe, toujours au même banquet mesmerien, cité plus haut à Toulouse! Le meme banquet en profitera pour lui décerner un autre titre honorifique, et non des moindre:
Chevalier de l’Ordre du Christ….
Un Ordre qui est à l’origine, la plus haute distinction que puisse remettre….le Vatican…!
…dont un ami a répondu sur une question posée de savoir quelle autorité avait un pouvoir suffisant pour remettre un tel titre: « S’il s’agit de l’Ordre du Christ du Portugal, il s’agit actuellement du Président de la République portugaise. Et depuis 1834 cet Ordre n’est plus qu’honorifique décerné par la Royauté constitutionnelle puis par la République. Il existe un Ordre du Christ décerné par le Vatican et qui posa des problèmes de concurrence entre la Papauté et le Portugal. Enfin, remarquons qu’il survécut au Brésil jusqu’en 1889. Et il a existé et existe encore des Ordres de fantaisie qui se réclament sans aucun fondement de l’Ordre du Christ (Wikipédia dixit).« ….
Précision faite que ce titre ne figure pas dans la liste des honneurs décernés à Monsieur Philippe, indiqués sur la liste que l’on peut voir sur l’illustration….Il fait partie de la dernière ligne… Nous allions oublier, qu’un futur ami de Philippe, évoqué plus haut, va recevoir cette « haute » distinction……Gérard Encausse -Papus, en 1897.
C’est tout de meme aussi à cette époque que Monsieur Philippe va rencontrer notamment la Princesse Militza du Montenegro et sa soeur Anastasia…..Elles vont faire leur entrée dans la famille du futur Tsar -1894-, Nicolas II….!
Donc, quand nous lisons, dans « Maitre Philippe de Lyon Thaumaturge et Homme de Dieu« , des propos tenus par Nizier Anthelme : « Si un prince vous donne une DECORATION, portez-la pour ne pas lui faire de peine ; c’est un hochet que l’on déposera une fois chez soi. Mieux vaudrait qu’il n’y en eût pas. » ….Monsieur Philippe sait de quoi il parle. Il est plus que probable qu’il a fait ce commentaire au moment du grand scandale de la Légion d’honneur ! Cette thèse est un document prouvant qu’il a reçu des titres, des décorations et des distinctions au long de sa vie, et ce, même si elles ne figurent pas dans les livres…
C’est ainsi que certains « pouvoirs humains » remercient pour services rendus, ou encore pour essayer de faciliter l’activité, ainsi que les allées et venues de Monsieur Philippe, notamment en Russie. Aucun de ces diplômes, aucune de ces décorations n’aura une quelconque valeur autre que « symbolique ». La faculté de médecine lui refuse des études et surtout un diplôme, mais certains hommes composant la dite institution, font partie de ces ordres délivrant à tour de bras des distinctions de toutes natures. Peut-être ces derniers voient-ils dans ces titres purement honorifiques, un possible moyen de compenser ce qu’ils ne veulent pas délivrer officiellement… C’est autant de données et d’indications sur une partie des vraies connaissances de personnalités, par Philippe de Lyon…
Cet article n’a pas pour objectif de juger, ni de critiquer. Il se fonde sur des faits prouvés et étudiés. A chacun de se faire sa propre opinion, et d’enrichir ces propos avec des commentaires qui, autant que faire se peut, ne doivent pas créer de polémiques ni critiquer et encore moins juger. Ces données peuvent sembler partir dans beaucoup de directions….Et pourtant, tout est relié. On peut peut-être considérer que Monsieur Philippe en est l’épicentre.
L’ami auquel nous faisons allusion a lui aussi étudié ce titre de Chevalier de l’ordre du Christ, sur « Les chemins de la Tradition« ….c’est notre façon de nous excuser de l’empreint sans avoir demandé sa permission, pour enrichir cet article.
Les auteurs et livres cités sont répertoriés dans la bibliographie
Sédir disciple de Maitre Philippe de Lyon. Considérer Yvon Le Loup, Paul Sédir comme un disciple de Monsieur Philippe, oui, il n’y a pas de doutes sur ce sujet.
Il faut préciser que cette réflexion émane d’un commentaire posté sur la page Facebook du site. Voici le propos: « N’oublions pas son principal disciple, Paul Sédir… »
Voici ma réponse à ce commentaire:
« Considérer Sédir comme un disciple, oui, il n’y a pas de doutes sur ce sujet Considérer l’auteur d’ »Initiation » sous un pseudonyme avec lequel il n’est connu que de certains groupements, alors qu’en tant qu’auteur, il a pris le seul pseudo de Sédir, ne simplifie pas l’approche que l’on peut avoir de cet auteur si prolixe. Nous conviendrons en effet qu’Yvon le loup, est plus connu, dans l’entourage, pas si proche que ça, de Philippe sous le nomen de Sedir. Mais on peut considérer qu’il n’a pas côtoyé Monsieur Philippe aussi souvent que bien d’autres personnes, loin s’en faut. Alors que par exemple Emmanuel Lalande a côtoyé Nizier Anthelme, sur plusieurs années ; 7 au total , pratiquement au quotidien.
C’est l’œuvre de Sédir qui donne à penser, qu’il fut un des plus proches disciples. En réalité il l’a très peu vu. Mais le choc des guérisons effectuées par Monsieur Philippe, lui laisse penser qu’il est devant… La réincarnation de Jésus…. Ce choc, que l’on peut comprendre, va se retrouver jusque dans le dessin qu’il fera de Monsieur Philippe le transformant en Christ -publié dans au moins un livre-…. Sans compter tous les textes qu’il laissera, au travers desquels il donnera sa propre vision de ce qui se passe sous ses yeux. C’est possiblement dans ce contexte que Monsieur Philippe a d’ailleurs eu à préciser qu’il n’était pas le Christ, complétant ses propos en disant que des gens le pensaient mais qu’il ne l’était pas. Sauf que personne ne peut savoir le rôle qu’il -Monsieur Philippe- tenait, à l’époque du Christ. Entre autre parce que de tous les propos, on ne sait pas ce qui est fiable, et ce qui a été transformé par les témoins. Sédir en est d’ailleurs un très bon exemple puisqu’il est convaincu d’être devant Jésus…..!
Le principal disciple de Monsieur Philippe n’est donc aucunement Sédir. Mais bien plutôt Jean Chapas.
Tout ceci fait et fera l’objet d’articles sur le site Beaucoup de choses ont été légèrement transformées. Sans compter des anecdotes qui, sans trop trop chercher la petite bête, donnent à penser qu’il y a pas mal de choses à revoir. Le tout évidemment, dans le plus grand des respects ; cela va sans dire.
Cependant, merci de cette occasion de dire certaines choses en commentaires, en attendant les articles, même si certains aspects ont déjà été abordés.
Jusqu’à la création du site, il va y avoir trois ans, moi aussi je croyais que Sédir, faisait partie des disciples intimes, les plus proches de Philippe. » Fin du commentaire
Le sérieux des approches n’est pas remis en cause. L’esprit critique n’a semble-t’il plus sa place dans de tels cas de figure. L’emballement de certains témoins, considérés pourtant jusqu’à ce moment, des plus cartésiens, matérialistes, donne à penser que le contact avec Monsieur. Philippe n’a laissé personne indifférent…… Mais certaines transformations sont telles, qu’il est bien difficile aujourd’hui de pouvoir avancer que qui que ce soit connait Monsieur Philippe. Quant à connaitre Maitre Philippe…….
Quelle est votre approche, aujourd’hui? Comment percevez-vous Philippe de Lyon?
L’échange est consultable en ligne sur la page Facebook du site.
Edit du 13 novembre 2014 justifié par des mots de la main de Sédir en conclusion d’un portrait qu’il vient d’esquisser -ce sont ses propres mots-: « Et c’est parce que je trouve en cet Inconnu la ressemblance la plus parfaite avec le Christ, victime volontaire, qu’il m’a semblé utile de vous en esquisser la physionomie » extrait de portrait d’un Inconnu par Sédir, dans le chapitre des Portraits
Messe anniversaire du décès du Dr Philippe Encausse, fils de Papus, Gerard Encausse, Filleul de Monsieur Philippe, un des premiers auteurs sur le sujet Maitre Philippe de Lyon. En ce mois de juillet 2019, nous communiquons l’annonce de la messe anniversaire du décès de Philippe Encausse ÉTERNELLE MÉMOIRE
La messe anniversaire à la mémoire du Dr Philippe Encausse
entré, le 22 juillet 1984, dans la Lumière sans déclin, sera célébrée le Lundi 22 juillet 2019, à 18 h 30, en l’église Saint-Roch, 296 rue Saint-Honoré, Paris Ier
Vous êtes invités à venir prier pour Philippe et avec lui.
Catherine Amadou
ÉTERNELLE MÉMOIRE ÉTERNELLE MÉMOIRE ÉTERNELLE MÉMOIRE Le Dr Philippe Encausse est, pour autant que nous le sachions, l’un des premiers auteurs à avoir permis de faire connaitre l’oeuvre et les paroles de Philippe. Son livre intitulé « Maitre Philippe, de Lyon, thaumaturge et Homme de Dieu » est en effet un des rares livres à avoir été édité et réédité sur des décennies, entre 1932 -édition contenant les premières allusions- et 1990.
C’est ce livre qui a permis à nombre de personnes, dont nous sommes, de découvrir Monsieur Philippe, avec le livre « Vie et paroles du Maitre Philippe« , qui sera publié en 1949, comme le fut la seconde édition du livre du Dr Encausse
La moindre des choses est de rendre hommage au fils de Papus, dont le parcours est on ne peut plus lié à celui de Nizier Anthelme Philippe.
Ce site ne peut que rendre un hommage des plus chaleureux à cet auteur, ainsi qu’à son père, Gerard Encausse -Papus- sans lesquels il n’aurait pu voir le jour.
N’hésitez pas évidemment, à laisser un mot, de la longueur que vous voudrez.
Philippe de Lyon, Une histoire extraordinaire Nizier Anthelme Philippe, un destin extraordinaire Maitre Philippe, une mission extraordinaire.
Ce destin exceptionnel pousse à se demander si nous sommes à même de dire que nous connaissons Philippe de Lyon. La mission, comme l’histoire, autant que les paroles, peuvent être comparées à ce que nous supposons apercevoir d’un iceberg…. Or, nous ne voyons de ce dernier qu’un bien faible pourcentage de sa surface réelle. Nous ne pouvons donc avancer que nous n’avons connaissance que d’une toute petite partie de ce que fut la vie, les oeuvres, sans compter les paroles…. D’un homme dont le destin hors du commun a bouleversé un très grand nombre de personnes qui ont laissés, pour certaines d’entre elles, des témoignages, des notes.
Certes, mais… Ce qui parvient à travers les livres ne relate que la meme chose Les mêmes faits, les mêmes paroles.
Même le dossier de police…
Comme le relate le livre « Monsieur Philippe, Homme de Dieu » le dossier de police, donne à son tour un point de vue, bien sûr sans neutralité, et qui plus est, ne cherchant pas à être objectif. Il est là pour tenter d’établir des faits, noter des observations, rapporter les surveillances….. Filer Monsieur Philippe, même pour la police, ne doit pas avoir grand chose à voir avec une enquête dite classique.
Les témoignages
Nous découvrons d’un livre à l’autre des faits, ou des paroles, qui ne se recoupent que bien peu. Un seul témoin a indiqué qu’il ne notait les paroles qu’une fois rentré chez lui…! Or, c’est ce que tout le monde a fait. Il en est probablement de même pour le peu d’écrits finalement qui sont parvenus jusqu’à nous. Tout le monde ne vit pas une meme scène de la meme manière, loin s’en faut. Chaque personne a un aperçu différend de celui de quelqu’un d’autre. Il suffit de voir les différentes réactions dans les commentaires sur les articles…..sur ce seul blog. C’est autant le cas de n’importe quel fait de la vie courante. Nous entendrons, nous quelque chose, alors que le voisin aura entendu autre chose. Sans compter les transformations qui seront inévitables, en partie dues au fait de la compréhension possible par chacun.
Le nombre de témoins, diffère d’une source à l’autre:
En effet, nous avons, d’après: Le livre « Vie et paroles du maître Philippe »: 80 personnes Rapport de police: 120 à 130 personnes Article « point de vue et images du monde » du 3 octobre 58 : 200 personnes Je n’ai pas eu la chance de connaitre les lieux dans la structure de l’époque, mais le nombre de 200 personnes ne me semble pas très objectif. Les divers plans cadastraux publiés sur d’autres articles démontrent l’impossibilité de réunir autant de personnes sur une aussi petite surface ; évaluée à 114m2, sur la totalité de l’étage de la maison, desquels, comme le précise les meme commentaires, il faut déduire les pièces nécessaires à vivre…
Un demi-siècle de séances réduit en 4 ans
Les premières séances datent de bien avant l’arrivée rue Tete d’Or dans le milieu des années 1880…..Les dates comme les faits relatés manquant notablement de précision, quand il ne se contredisent pas purement et simplement. Puisque les premières attestations remontent, selon le livre « Monsieur Philippe, Homme de Dieu » à 1870, époque à laquelle Nizier Anthelme exerçait déjà ses talents du côté de la Gare Perrache à Lyon… Donc, nous évoluons dans les séances et donc dans les paroles, dès cette époque….Elles connaissent un ralentissement autour de 1899, du fait des divers déplacements de Philippe, mais sont assurées par Jean Chapas. La presse elle-même s’en fait écho….Le Caporal ne les arrêtera qu’au début des années 1920…
Cette période court donc sur plusieurs décennies ; sur près de 50 ans…!! Nous pensons pouvoir considérer que cette période est d’une bien plus grande longueur que les maigres témoignages, de quelques témoins, qui se révèlent dans les lectures, ne pas être si proches que cela, loin s’en faut. Puisque les archives qui sont, pour certaines, parvenues jusqu’à nous ne couvrent « que » les années 1894-1897, avec quelques éléments, notamment dans les derniers livre, tels que « Enseignements oraux de M.Philippe de Lyon », «Monsieur Philippe, Homme de Dieu», «Vie et Enseignement de Jean Chapas»….Jusqu’à 1905 dans le meilleur des cas. Les paroles ne sont donc réunies, dans les livres les plus connus (les premiers), que sur une très courte période: 4 ans Alors que les dates elles nous les rapportent ou nous les situent sur près d’un demi-siècle.
C’est ce constat qui nous a amenés à considérer que nous ne connaissons donc que bien peu Philippe de Lyon.
Nous ne connaissons donc pas davantage Monsieur Philippe que Maitre Philippe…
L’image de l’iceberg semble être plus que de circonstances… Nous ne voyons en effet de cet élément naturel que tout au plus la partie qui dépasse au-dessus du niveau de l’eau. Soit un très faible pourcentage de ce qu’il est vraiment.
Il est incontestable, que le destin, la mission, l’œuvre de Monsieur Philippe sont en tous points exceptionnels. N’est pas davantage remis en cause qu’une très grande quantité de personnes ont été témoins de façon plus ou moins proches et ont cherché, à retranscrire, chacune à leur manière, selon leur propre sensibilité les faits qui se sont pour certains déroulés sous leurs propres yeux.
Il n’est donc comme sur d’autres articles, pas question ici de juger l’un ou de critiquer l’autre. Nous en aurions possiblement fait autant si nous avions été à leur place. Même si les faits comme les paroles ou les actes, qui nous sont rapportés sont possiblement éloignés de ce qui s’est réellement passé il n’en demeure pas moins, que ce destin transmis à Jean-Chapas, nous devons à notre tour le transmettre avec toute la reconnaissance possible, et tout l’immense Amour que Philippe et le Caporal, nous ont transmis chacun à leur manière.
Nombre de données ont été développées en articles Alors que pour certaines d’entre elles, elles figuraient, partiellement pour quelques unes en tous cas, dans des livres…..Encore faut-il trouver le ou les livres…Ils figurent dans la bibliographie, certes encore, mais pour les trouver dans le commerce, c’est un parcours qui a fait lui aussi l’objet d’un article: trouver un livre de Philippe de Lyon
En finalisant ces lignes, je constate que seuls les deux premiers livres sur Philippe sont connus, et en possession du plus grand nombre. Ce qui m’amène à une question: Pourquoi les premiers livres étaient-ils bien plus faciles à trouver?… Qui plus est à une époque où la discrétion, devenue une marque, était de mise…!?
Qu’en pensez-vous? Doutez vous de quelque chose, prenez-vous toutes les lectures sur le sujet au pied de la lettre? Avez vous fait d’un livre, votre livre de chevet ; si oui, pouvez vous nous dire lequel et ce qu’il vous apporte?
Peu importe de quelle façon, avec quels textes, avec quels mots, avec quelles phrases, chacun comprend ou vit la spiritualité Nous ne sommes pas sur le meme plan…. Il ne faut pas se méprendre si ce que les hommes comprennent est une autre facette de la Vérité chacun son point de vue Ceux qui n’entendent pas auront d’autres occasions, d’autres moyens, d’autres sources
Il nous Aime
« Chaque race, comme chaque homme, ne peut saisir que l’aspect du Verbe et de la Vérité qui lui correspond. Donc, superflu de s’irriter chaque fois que nous voyons quelqu’un comprendre notre aspect du Verbe et de la Vérité autrement que nous. Pour ceux qui ne croient à rien, il n’y a pas à désespérer d’eux ou à se décourager : il faut plutôt se rappeler qu’en cette matière on commence toujours une fois. »…issu d’un commentaire dont nous ne savons pas si l’auteur est André Savoret ou Philippe de Lyon….l’important est peut-être simplement le message transmis
Nous avons également la référence du texte extrait des propos tenus par Jean Chapas, « Les différentes facettes de la Vérité » depuis le livre « Entretiens spirituels » de Michel de St Martin référencé dans la bibliographie.
Texte hommage en poème pour Maître Philippe de Lyon
À mon maître, avec Amour. Mon Dieu. Je pense aux enseignements de Mr Philippe de Lyon. Je pense qu’il est de vous. Comment en serait il autrement ? Aime ton prochain plus que toi-même. Ne médit de l’absent, si ce n’est en sa présence. Pratique la charité. Un Monde Parfait. Parfait d’occasions toujours plus nombreuses. Dessiné pour l’épreuve. A chacune faire ses preuves. Vouloir ne pas échouer. Ne plus avoir peur. Accepter. Changer. S’Élever et Élever. Endosser car on sait. Prier pour Pardonner. Prier pour avoir la force de pardonner. Prier pour le pardon des erreurs passées, présentes, et futures. L’allègement des chaines… Prier et guérir. Le seul désir pouvant être égoïste. Désirer être libre à tes yeux car tu sauras notre sagesse. La seule comptant à tes yeux. J’aime.
Merci mon Maître, Tu es en mon coeur. Avra.
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