Mr Philippe de Lyon.
« Je ne puis rien, je ne fais que demander à Dieu, et vous ne pouvez éprouver de soulagement dans cette salle, soit pour les maladies, soit pour alléger le fardeau qui pèse lourdement sur ce triste monde, que si vous avez fait quelque chose pour le Ciel. Celui qui n’a pas fait d’oeuvres méritoires n’a rien à attendre, et de même vous ne pouvez être entendus. »
Monsieur Philippe, Alfred HAEHL, Vie et Paroles du Maître Philippe, Editions Dervy dans la bibliographie
Cette phrase rejoint cet article :
Toi, si tu avais fait la même chose, cela ne t’aurait servi de rien…Philippe de Lyon à Alfred Haehl
Sommes-nous capables d’en faire autant?
Je nous imagine comme des émetteurs-récepteurs qui doivent émettre un « signal » pour en recevoir en retour.
Ainsi si nous donnons, nous recevons en retour : faire naître un sourire sur le visage d’une personne en peine, fait naître en retour, au fond de nous, un sentiment de joie au moins aussi fort; De même lorsque nous agissons mal, notre être est alourdi par des chaînes que nous recevons à ce moment là…ce qui nous demanderas plus d’efforts pour recevoir du positif.
Si l’on donne au quotidien, on reçoit de plus en plus, et de plus en plus intensément et notre être entier entre en résonance avec le message du Ciel révélant peu à peu sa nature divine… et là je pense qu’on est au stade de maître spirituel :-) Moi, je suis en maternelle…à côté du radiateur !
Prions donc pour recevoir notre pain quotidien mais il nous travailler pour le gagner !
Asseyez-vous simplement au calme, seul, et atteignez le Divin.
Communiquez avec le Divin de la façon qui vous convient.
Parlez avec amour, ou même criez vers Dieu!
Mais communiquez avec lui, Dieu vous répondra.
Il accourra pour vous prendre dans ses bras.
Je peux parler sans fin sur ce sujet mais c’est à vous de pratiquer et
d’expérimenter. »
Et bien non, ces propos ne sont pas de Nizier-Anthèlme Philippe, contrairement aux apparences, car il ne fait aucun doute qu’il aurait pu les prononcer !
Ils sont de Swami Premananda. Ceux qui veulent en savoir plus pourront consulter leur moteur de recherche puisque ce site est exclusivement réservé à celui que l’on appelle Maitre Philippe de Lyon.
Mais il faut savoir qu’en 1990 au Couvent des Dominicains, situé à Eveux en face de la colline du Clos Landar, s’est tenue une grande rencontre internationale des disciples de Premananda. Déjà, le fait que cela se passe chez les Dominicains est une grande preuve d’ouverture et de tolérance des autres , mais, à l’occasion de cette rencontre, Maitre Philippe a longuement été abordé et certains participants se sont rendus au Clos Landar.
J’ai à ce sujet deux témoignages concordants d’amis qui suivent des chemins différents et ne se connaissent pas, et qui depuis ce jour considèrent Nizier-Anthélme Philippe comme un Maitre spirituel.
Nous avons là un bel exemple d’universalité dont nous sommes plusieurs à avoir parlé ici.
Bonjour,
Oui, je pense que Philippe était tout à fais juste en disant qu’il ne fait que demander à Dieu.. guérisons….etc..
Il ne doit pas ses guérisons à son énergie propre mais parce qu’il demande au Père. Cette guérison est envoyée de Là-Haut…
Je ne savais où placer cette réflexion, alors j’ai un peu choisi au hasard.
Qaund on a lu tout (enfin…au mieux) ce qui a été écrit sur Nizier-Anthèlme Philippe, ce qu’on dit de lui ses apôtres et disciples, ses apologistes et ses laudateurs, on ne comprend pas une chose : comment se fait-il qu’il n’ait jamais été au moins béatifié ? Car nombreux l’ont été pour moins que ça …
Et cette question est sérieuse.
Très sérieusement, Népomucène :
Dans un ouvrage (je ne retrouve plus où), Monsieur Philippe dit que les prètres sont des diables incarnés. On peut se demander dans quel état d’esprit était MP… A qui s’adressait ce message ?
Donc, il est possible que celà représente sa position par rapport à l’église, juste une supposition.
D’autant que l’on peut remarquer que le terme Maître est un mur pour aspirer faire de lui, un saint. Enfin, ce n’est que mon opinion.
Ceux que l’on appellent saints ici bas, n’ont aucune technique pour secourir leurs prochains. Ils s’adressent au Ciel.
De plus, ils ne font pas commerce de leurs dons. Chacun à eu sa façon de porter le Message.
meaculpa… J’ai oublié la relecture !
» son rapport à l’ Eglise » voulais-je dire, bien sûr.
Je rebondis sur ce commentaire de Lucie du 12 juillet concernant les rapports du Maitre du Clos avec l’Eglise. J’avais déjà évoqué le sujet par deux fois mais cela a été obscurci par quelques brumes : la première fois j’évoquais exactement la question de ses rapports, et la seconde je recherchais des informations quant à son décès.
Je ne reviens que sur ce deuxième point : le faire-part de son décès publié par la Compagnie Générale des Pompes funèbres de Messieurs Malet et Deloras inidique, entre autres « muni des sacrements de l’Eglise ».
Ors, dans les compte-rendus faits par ses disciples, nulle part dans leur récit de sa mort il n’est fait état de la visite d’un prètre pour lui administrer l’extrême onction : on sait, qu’à l’époque, ce dernier sacrement était important, puisqu’il constituait avec le baptème l’une des deux portes de la Vie chrétienne.
Alors possède-t-on des indices, ou mieux, des preuves à ce sujet, ce qui en plus nous donnerait un indice de son non-rejet de la Religion catholique ?
Dans les livres, il semblerait que Philippe n’était pas d’accord avec l’Eglise. (certaines phrases…)
Cependant, on trouve dans l’ouvrage du Dr Bertholet :
En décembre 1894, encore une précision nouvelle :
« Celui qui est avec moi m’a dit de vous parler ainsi :
Respectez les lois des gouvernements quels qu’ils soient. Respectez aussi les lois de l’Eglise, Dieu l’a voulu ainsi. Respectez la religion, toutes les religions, c’est Dieu qui les a créées. »
…..
Philippe appartenait à la religion catholique. Et à tous ceux, protestants, Juifs, ou même Hindous qui le consultaient, il répondait :
« Suivez votre religion. Soyez bons et charitables, et priez Dieu. Dieu est le même pour tous. » Jamais il n’a prêché d’autre dogme que celui de la bonté.
S’il est bien décédé le 2 Aout, les funérailles de Monsieur Philippe ont eu lieu le 5 aout.
Bonne journée Népomucène.
Et à tous.
Dans l’ouvrage de Philippe Encausse, on trouve encore une réfléxion qui, peut-être, en dit long quant à ses opinions :
– On dit : « Toutes les religions sont bonnes ». Je ne sais pas. D’abord, je ne vous dis pas de croire comme moi. Je vous dis seulement ce que je sais. Nous sommes tous ici, ou à peu près, catholiques. Eh bien, toutes les religions sont peut-être bonnes, mais la nôtre voudrait étouffer toutes les autres.
C’est très joli comme réflexion, c’est un véritable appel au respect des autres et à leurs croyances : nous ne sommes pas omniscients et nous n’avons pas à juger ce que nous ne pratiquons pas. Il reconnait qu’il est catholique pour ainsi dire par filiation, parce que c’est ainsi dans son pays mais qu’il se peut que d’autres Religions soient bonnes.
Quelle leçon pour sa propre Religion qui veut écraser les autres et avoir ainsi la prédominance des choses de l’Esprit ! Et même parmi ses disciples ou laudateurs il semble que beaucoup méconnaissent cette parole de sagesse, et donc par là trahissent ainsi sa pensée, tout en se réclamant de lui.
Merci d’avoir retrouvé cette parole.
Ce qui me chagrine…
Je ne retrouve pas cet élément qui dit que MP n’aimait pas les crucifix.
Ce doit être une erreur, sinon il n’y aurait sur la tombe, ni fleurs ni crucifix. ( En respect de sa volonté.)
Cela signifie donc que personne n’ayant décrit la journée de sa mort n’a ni été témoin direct, ce qui est un peu normal, ni n’en a eu un rapport exact puisque l’extrême-onction a du lui être administrée étant mourant !
L’avis de décès que j’ai sous les yeux, stipule bien que les funérailles auront lieu le samedi 5 courant à 9 heures 3/4. Le convoi partira du domicile mortuaire à l’Arbresle, lieu dit Collonges, pour se rendre à l’église paroissiale…sera transporté à Lyon où aura lieu une cérémonie religieuse le même jour à 3 heures en l’église St Paul…
Avec la dédicace finale : que la volonté de Dieu soit faite.
S’il est mort subitement, de façon inattendue…
Il n’a pas pu reçevoir l’extrême onction ?
Non, non, il a longtemps souffert avant de mourir et sur une période de plusieurs jours. Ses disciples, Sédir, Papus en témoignent, car il a été atteint au plus au niveau par la mort de Victoire : déjà le 13 décembre 1904 Sédir nous le décrit ravagé par la souffrance à Paris, puis les 18 et 20 mai 1905 il décrit sa dernière visite, avec Alice son épouse, au Clos Landar ou il est pris par des douleurs extrêmes depuis 3 mois qui lui interdisaient toutes sorties, mais le considérant atteint depuis 7 mois !
Ainsi sa mort ne fut pas une surprise et si elle arriva brutalement a pu être préparée, notamment par l’administration de l’extrême onction.
à la relecture…au niveau …c’est haut niveau…
Certes, ces détails sont bien dans les livres…
Mais les douleurs physiques, lièes à quelle pathologie ?
Que sait-on des rapports de médecine, quant à la cause ?
Beaucoup de pères perdent leur enfant…
Cependant, ils n’ent meurent pas.
On peut s’interroger ?
et je n’ai toujours pas la réponse à ma question de l’avis de décès mentionnant l’extrême-onction…
Dans Vie et paroles de Alfred Haehl, il est dit :
Le matin du mercredi 2 aout 1905…
M. Philippe se leva de son fauteuil, fit quelques pas dans la chambre, et tomba. Tout était fini.
Cependant, le docteur Lalande, qui examinait souvent M. Philippe, n’a jamais rien trouvé d’anormal dans son état physique .
On peut s’interroger ?
Réponse encore tout à fait personnelle et « féminine » :
On mélange pas les torchons et les serviettes!!!
çà aussi c’est bête n’est-ce-pas
réponse à la question , pourquoi pas un saint
Parce qu’on mélange pas les torchons et les serviettes
Apparemment, j’ai dû râter un épisode de feuilleton, ça m’apprendra à délaisser le site des Maitres Philippe pour suivre les aventures de Tintin à la télévision, car je ne comprends que couic à ces torchons et serviettes : serait ce un grand nettoyage de printemps…un peu en retard ?
Non ! Népo…
Juste le feu d’artifice, tiré un peu à l’avance !
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas…
Hier, une coccinelle s’est posée sur mon épaule, j’ai eu le temps de l’observer avant de la poser dans l’herbe.
Aujourd’hui, on dirait juste une mouche qui pique…Qui tombe là, comme quoi déjà ?
Réponse à Lucie
Népo aime les aventures de Tintin, après tout je préfère çà que les Martines en voyage, ou Martine à la campagne….
Elisabeth…
Je ne répondrai plus à vos posts.
Là, tout de suite…
Je voudrais répondre à Lucie sur la mort de MP le 2 aout 1905 : cette version Haehl est totalement contradictoire avec celle signée Encausse.
En effet il reprend le témoignage de Yvon Leloup (Sédir) qui explique que, pendant qu’on lui préparait son potage,, on entendit un cri immense immense déchirant l’espace. Quand Mme Landar, sa belle-mère fut montée en hâte elle le trouva sur le sol, ayant glissé de son fauteuil et rendant le sang par le nez et les oreilles.
Alors de qui Haehl tient-il son information ?
C’est vrai que pour certains événements concernant mr. Philippe, nous avons deux versions. De son heure de naissance déjà, on a le choix entre minuit et trois heure du matin, jusqu’à sa mort, silencieuse ou en poussant un râle.
Bien vue encore Népomucène.
Philippe avait tout d’un saint puiqu’il redistribuait TOUT .
Toute guérison apportait son lot de valeurs morales ect…
Et, de plus…était un homme très ordinaire.
Ceux qui en ont fait un Maître (contre sa volonté)
On peut s’interroger ?
Combien de fois faudra t-il dire et redire que Monsieur Philippe n’est pas un saint (c’est quasi insultant de dire cela de Lui), il donne lui-même la réponse, page 57 du livre d’Alfred Haehl « … le curé d’Ars était obligé, pour guérir, de prier, de faire prier ; moi, j’ai le droit de commander. » Qui peut commander ?
Monsieur Philippe DE SON VIVANT se laissait appeler Maître, il n’y a qu’à lire le témoignage de Claude Laurent « mes souvenirs », qu’il offre à Monsieur Philippe en avril 1905 ; à quasi toutes les pages, parlant de Monsieur Philippe il dit le Maître, et non pas Maître Philippe. Page 58, Claude Laurent pose une question à Monsieur Philippe en disant : « Enfin, Maître… »
Comment voulez-vous que l’on ne réponde pas « violemment » à certains points de vue laissés sur ce blog par des personnes qui n’ont pas même lus les documents d’origines concernant Monsieur Philippe. Avant d’enlever les crucifix de sa tombe, parlons de Lui en vérité, et que l’on ne me dise pas qu’il y a plusieurs vérités, un être humain n’a qu’une vérité ; la sienne.
Bénies soient les aneries, Jean Fauchard…
Puisqu’elles vous permettent de rétablir La Vérité.
Une …Une s…e de plus à l’horizon.
Ecoutez Lucie, vous prenez beaucoup vos aises pour juger les gens. Il y a quelques temps vous partiez à tout jamais des trémolos dans la voix, et le lendemain vous reveniez pour depuis envahir tous les jours ce blog de vos commentaires. Certains d’entre nous vous ont défendu quand vous étiez attaquée, visiblement vous avez la mémoire courte, et je crains que Jean-Pierre avait raison : vous êtes girouette. Et faites attention à ce que vous dites je vous le dis sérieusement, hier c’est Elisabeth que vous associez à un serpent jetant son venin, ce qui est d’une réelle méchanceté et là, c’est moi que vous associez à une religion et une s…e ; je devrais sans doute être flatté cette critique venant de vous. J’espère que vous retrouvez une certaine mesure dans vos commentaire, ce que vous aviez d’ailleurs avant, parce là vraiment vous dépassez la ligne rouge.
Je vous l’accorde, Jean Fauchard…
Ma participation à ce blog, est devenue trop envahissante.
D’autant que je n’ai pas grand chose à y apporter.
Merci de m’avoir éclairée.
Ça me rappelle la chanson de Gainsbourg »Élisa ». Mais içi pas besoin de demander la suite. Comme dit l’autre: les masques tombent. Pendant un temps … disait que le le »Maître » de mr. Philippe est venu après sa mort, et là J.F. nous écrit le contraire avec un livre du dit …. Mais ce n’est pas la première contradiction. Mr. Philippe disait que le Ciel lui préférait Jean Chapas car il était humble. Dur à suivre.
Comme d’habitude Michel vous êtes dans les à peu près et les imprécisions, ce qui vous permet par ce moyen d’attaquer facilement Mr Collin et moi-même, dont nous savons bien que c’est votre fond de commerce et votre délectation.
Que veut dire votre phrase : « Pendant un temps Collin disait que le »Maître » de mr. Philippe est venu après sa mort », je ne comprends pas cette phrase, que voulez-vous dire, soyez plus précis.
Vous avez tout à fait le droit de mettre en doute la parole de Mr Collin et la mienne, mais le problème en l’occurrence ici, c’est que je n’ai fait que citer Monsieur Philippe lui-même et Claude Laurent, le livre de Claude Laurent n’est pas un livre du dit Collin. Je vous en prie, renseignez vous avant d’écrire vos commentaires.
Je ne vend rien, pas de fond de commerce, je n’attaque pas plus, je vous assure, pas de martyrisme.
Vu sur ce site même.
»Mes souvenirs » de Claude Laurent, Mercure dauphinois, qui était le directeur d’édition de la série de livre sur Maître Philippe? Où s’arrête sa responsabilité?
En son temps plusieurs personnes (même Gil Alonso Mier, vu sur Arqa) ont écris à l’auteur de cette série, plus ou moins copiée/collée, pour avoir des explications sur les coquilles parsemées, dont une sur F. Schlatter et Saint Germain, sans retour… De plus P. Collin dit en conférence que Philippe Encausse a réécrit les comptes rendus de séances au 35 rue Tête d’or pour son livre sans plus d’explications. On se pose (plus) la question de savoir qui les a réécrit, ainsi que la vie de mr. Philippe.
Je ne suis pas mécontent d’avoir une nouvelle fois réussi, par une question programmée et volontairement iconoclaste, à relancer les échanges sur cet article d’Hélène fort intéressant ; et cela pourquoi ? En réaction de propos, comme je le disais forts laudateurs, tenus sur une multitudes de sites hors de ceux que nous connaissons (on trouve même des sites marchands proposant des méthodes ou produits faisant des miracles au nom de Maitre Philippe).
Mais je ne demandais pas que les échanges en arrivent à des jugements personnels, seulement un partage des idées et des informations, librement sans agressivité aucune , dans le plus pur respect des autres et en toute modestie, Nizier-Anthèlme Philippe aurait dit humilité.
Michel vous partez sur un autre sujet, on ne peut pas avancer ainsi. Je reviens donc vers vous, que veut dire votre phrase : « Pendant un temps Collin disait que le »Maître » de mr. Philippe est venu après sa mort », je ne l’a comprends pas.
Mr Collin est directeur de la collection : « autour de Maître Philippe », soit et alors ? Je vous le redis « mes souvenirs » est un texte écrit pas Claude Laurent, vous en trouvez la référence dans le livre du Dc Bertholet page 206, édité en 1960.
Concernant F Schlatter, je ne connais assez le sujet pour en dire quoi que se soit. Si vous avez un texte de Mr Collin sur « Saint Germain », je vous demanderai de bien vouloir me dire comment le trouver, je ne le connaîs pas.
Concernant la conférence qu’a faite Mr Collin, je vous ai proposé il y a quelques mois de comparer vos notes et la vidéo que j’ai de la conférence, vous aviez entendu des choses que je n’ai pas entendues, pas plus que Elisabeth qui l’a confirmé ici ; je renouvelle donc ma proposition.
Pas de texte sur Saint Germain ni sur F. Schlatter, seulement des paroles reprises et écourtées de mr. Philippe, le sens premier en a été déformé. Les archives sont une chose mais faut il encore qu’elles soient reproduites intégralement et respectueusement. Mes notes sont sonores, donc pas besoin de votre vidéo et de morceaux sélectionnés, Jean. Merci de votre proposition.
Ce passage est très intéressant quand on prend la peine de l’analyser :
il donne lui-même la réponse, page 57 du livre d’Alfred Haehl « … le curé d’Ars était obligé, pour guérir, de prier, de faire prier ; moi, j’ai le droit de commander. » Qui peut commander ?
Car si l’on donne la valeur exacte à chaque mot, le pauvre petit Jean-Marie Vianney n’était qu’un intercesseur par la prière pour guérir, tandis que Nizier-Anthèlme n’avait nul besoin de ce vecteur.
Qui priait le curé d’Ars ? Dieu …et le Maitre du Clos commandait …donc il était Dieu. Nombre de personnes seront ravies d’apprendre ce scoop.
A vous de voir ce que Monsieur Philippe voulait dire en disant cela. Votre commentaire est un point de vue, personnellement ce n’est pas ce que j’ai dit, donc le scoop n’engage que vous, puisque c’est vous qui en êtes arrivé à cette conclusion.
Puisque vous ne semblez pas comprendre ce que vous avez vous-même écrit, nous allons donc le reprendre : il donne lui-même la réponse, page 57 du livre d’Alfred Haehl « … le curé d’Ars était obligé, pour guérir, de prier, de faire prier ; moi, j’ai le droit de commander. » Qui peut commander ?
Le final se suffit à lui seul : qui peut commander ? Nous avons déjà l’habitude de vos déclarations par sous-entendu et là vous continuez car « qui peut commander ? » ne concerne ni Félix Faure, ni Emile Loubet, ou les autres Présidents de la République de l’époque. Ce qui peut commander n’est pas destiné au garçon d’un restaurant. Mais bel et bien dans votre sous-entendu à Dieu, puisque dans le même temps, par la bouche de Nizier-Anthèlme Philippe, vous rabaissez le saint Curé d’Ars en disant que lui, il est obligé de prier : qui ? Pas sa bonne, mais bien celui qu’il appelait le Bon Dieu.
Alors, Jean, il faudrait cesser de prendre tous les autres pour des idiots et je suis poli. Et aussi d’assumer vos écrits.
Je ne crois pas avoir rabaissé le curé d’Ars, dans la catégorie des saints catholiques il est un des plus grands, néanmoins Monsieur Philippe ne peut en rien lui être comparé ; ce que Monsieur Philippe dit lui-même et ce que le témoignage entre autre de Claude Laurent confirme. Quand au mot Dieu je ne l’ai pas écrit, je n’y ai pas pensé, c’est là aussi votre interprétation. Laissons donc la question en suspend, chacun y répondra pour lui-même.
Bonjour à tous,
Serait-il envisageable, que MP ait scindé en l’Eglise ceux qui aimaient et craignaient Dieu et ceux qui étaient attachés au dogme? Dans la seconde hypothèse, les prêtres, attachés au dogme seraint étymologiquement enfants du « diable » dans le sens ou le dogme est séparateur, et de fait le diable, divise…como le définit la racine grecque « diabolos » celui qui divise…MP savit surement ce qu’il disait on? ou lorsqu’il ne savait pas quelqu’un savait pour lui…enfin tout cela c’est du pré-supposé.
Ravi de lire que les discussions battent à nouveau leur plein rythme, gageons que pour le 14 juillet ce sera un feu d’artifice.
Une bonne journée à tous
Bien à vous Egidio
Et justement en évoquant le diabolos, nous sommes là en plein Tradition antique. En effet diabolos était ce qui sépare, ce qui divise, en opposition au sumbolos qui réunit.
Et le sumbolos était réellement matérialisé par une sorte de tablette de brique marquée au milieu par une rainure verticale. Lorsque deux amis se séparaient pour un voyage, ils cassaient la tablette en deux gardant chacun une moitié, et à leur retour reconstituaient la tablette, tout un symbole !
En effet, Egidio…
Là, on retrouve bien l’esprit de MP . Les religions divisent les hommes.
Tout comme, nul n’est besoin d’appartenir à une s…e, ect…
Il semblerait que MP avait un caractère bien trempé. Aurait-il eu des conseillers, dont on ignore tout ?
Il était catholique par tradition. Sans doute respectait-il les usages pour ne pas être à part.
Bonjour Lucie,
Ravi de vous lire, et pour ma part, je nuancerais votre propos ainsi ; le dogme divise les religions, qui alors instrumentalisées divisent à leur tour, leurs fidèles. En cette période de Ramadan, je prie davantage pour nos frères en Islam, afin que ceux qui ont divisé la Foi et l’instrumentalisent à des fins de pouvoir temporel, puissent eux aussi comprendre et par là-même tenter de réparer leurs erreurs, méfaits allant parfois jusqu’au crime. Il en est de même pour chaque tendance « extrême » de quelque religion ou de quelque philosophie, ou démarche ésotérique. Cela me fait songer à ces conseils de MP, qui nous invite à ne pas se retirer du monde afin de ne pas succomber au pêché. Voyez-là comme ailleurs, ne sommes nous pas conviés à laisser LUCIE faire…
Excellente journée à vous
Egidio
Ben ça alors !
Tandis que je méditais, tout en réfléchissant (coucou meaculpa) à vos propos, Népo, Egidio…
Mon esprit a dévier en une question :
« Tiens, si MP était revenu parmi nous, où le chercher ? »
Voici ce qui m’est apparut : (au risque de me faire lincher, je prends le risque.)
Extrait d’une vidéo, Sept à Huit . Guy Gilbert, la Foi Brute.
L’ Evangile selon saint Loubard :
» Lutte et aime, là où tu es ! »
» Les jeunes s’emmerdent à la messe ! »
» Et quand je vois le Comte de Médeux… »
« Je souhaite qu’un jour le pape ait les pieds nus ! »
« Une bonne droite évangélique çà fait pas de mal ! »
Une Eglise qui n’est pas du côté des plus pauvres est une Eglise bidon car elle trahit le message du Christ .
MP revenu en loubard ? Au milieu des loubards, pas à côté…Mais au milieu !
Et pourquoi pas ?
Il n’est sûrement pas revenu là où il n’y a rien à faire.
Qu’en pensez-vous ?
Loubard PM…? Peut-être comme curé des loubards? ou bien prêtre ouvrier? ou alors un Archimède le clochard, incarné à l’écran par Jean GABIN…Chère LUCIE, vous avez été dans une vie antérieure, un lama tibétain ( ou granbétain..allez savoir) qui aujourd’hui nous invite à chercher la réincarnation de MP.
Cherchons donc, tels ces moines détectives qui allaient de vallée en vallée, visiter tous les enfants qui étaient nés suite à la mort du Dalaï Lama. Ils lui présentaient alors des objets en plusieurs exemplaires identiques, et regardaient ceux que l’enfant enquêté allait choisir. Si l’enfant choisissait à 3 reprises le même objet, ils passaient à l’étape suivante et ce jusqu’à la confirmation .
Lucie : Aurait-il eu des conseillers, dont on ignore tout ?
Chut Lucie ! Les chougneurs nous surveillent d’un oeil inquisitorial…
Bonjour Népomucène et merci pour cet éclairage, ce « sumbolos » enfant des Dieux et des Hommes, permet de
RE-VENIR, et donc de RE-UNIR, ce qui était séparé. Ainsi s’illustre, la parabole des êtres boules de PLATON, ces êtres qui sur le plan du BEAU sont « UNIQUE » UN et EGAL, mais qui incarnés sont des chercherurs de Lumière, dont le DESIR est de RE-TROUVER leur ALTER-EGO. Ainsi ce sumbolos, nous est arrivé symbole et nous permet de nous désaltérer, alors que sur le chemin, escarpé et âpre, nous allons, harassés mais enthousiastes. Quelle joie alors nous étreint, soudainement lorsque par l’analogie, le symbole nous pénêtre…C’est le jaillissement du torrent pour le voyageur au désert, c’est la spontanéité de l’éclair, pour celui qui instatanément « RE-ALISE » …Excellente journée à vous Népomucène et MERCI MERCI MERCI
Pour Egidio : En effet je suis enchanté par cet échange si riche en renseignements pour ceux qui vivent avec leur temps et les yeux ouverts. On pourrait même dire que votre texte est touché par la grâce tellement chaque mot est si important ! Et cela nous permet, grâce à des réflexions à partir de Monsieur Philippe, d’aller de Platon à, surprenant, Frère Roger le fondateur de Taizé qui a toujours prôné la RE conciliation au point de donner ce nom à l’immense église de la colline inspirée.
Népomucène, bonsoir, vous avez connu Frère Roger? C’est une sacrée Grâce que vous avez vécu là, et MERCI MERCI MERCI de nous la faire partager? Quel être lumineux, quelle bonté, quelle ouverture, quelle compassion et que de prières ne faudra t’il dire pour son meurtrier…De Là-Haut, il doit prier pour son meurtrier…
Je ne sais si j’ai les yeux ouverts, mais il est vrai que je cherche de la lumière, je la traque, je la débusque, je la cherche, y compris dans le sombres jours qui se présentent, dans cette morosité engendrée par l’ignorance crasse qui nous est déversée par tombereaux…enfin comme un marguerite, j’essaye de pousser vers le soleil…
Oui en effet Egidio, j’ai connu Frère Roger, j’ai fréquenté Taizé pendant des années, mais toujours en indépendant (depuis les années 80), j’y ai emmené de nombreuses personnes, même un car entier d’amis parisiens…jusqu’à ce funeste 16 aout 2005 où je devais être à Taizé et où je n’ai pu aller !
Et j’y ai vécu deux ou trois moments extraordinaires dont une rencontre pratiquement personnelle et impromptue…d’ailleurs il me doit de manger avec lui une salade…mais cela est une histoire personnelle.
Simplement, lors des veillées de prière dans la grande nef de l’église de la Réconciliation, dans la demie-pénombre, il ressortait exactement comme le Christ du tableau de Rembrandt les pélerins d’Emmaûs : illuminé par une lumière intérieure venue de nulle part.
Il semblerait que vous avez vu la lumière d’un saint, Népomucène.
Son tragique destin en est peut-être une lumière de plus.
On peut s’interroger ?
La multitude de personnes du monde entier qui, des années 1970 à 2005, l’a vu, entendu ou lu, a toujours reçu de sa part un témoignage unique : le message d’amour de Christ.
En effet, on peut s’interroger quant à ces êtres qui rassemblent, avec pour seul message universel : AMOUR
Tandis que je réfléchissais très sérieusement, soudainement :
« Arrète de réfléchir ! Détends toi… Regarde la télé ! »
Devinez sur quoi je suis tomber ?!
La troisième vague ! sur la chaine Histoire.
Comme une réponse.
Mais ça, c’était hier.
Seulement hier, j’ai peut-être compris les dangers des communautés, tout en admettant leurs utilités.
Je n’ai pas versé de larmes. Mon coeur a saigné.
Ben oui ! koi… Coucou…Jean-Pierre !
Le côté théâtral de ma personne.
Philippe de Lyon disait, extrait du Haehl:
« Jésus est venu établir le règne de la charité et je suis venu pour consolider ses lois »
Il est venu, rediffuser le plus magnifique des messages
Il ne se faisait aucune illusion sur ce que les hommes allaient, pour certains, en faire.
Ce que monsieur Philippe a demandé, c’était de faire des efforts, apparemment de plus en plus difficiles à meme envisager, sur l’amour des autres, sur l’humilité, ne pas médire….
Les messages sur ce site ont autant de difficultés à être bienveillants, à être agréables à lire, que charitables
Si ce site veut partager et faire découvrir le Maitre Philippe, arrêtez de demander à des participant(e)s de partir.
Chacun(e) est libre de participer ou non, de lire ou non, de visiter ou pas.
c’est un luxe internet ; on fait ce que l’on veut, mais comme partout, le minimum serait de respecter ceux à qui on s’adresse et les personnes qui vont nous lire
Nous avons sur ces pages la possibilité de partager les plus beaux des messages et en lieu et en place, on découvre des phrases dont la teneur est blessante rien que pour la personne à qui il est adressé…!!
monsieur Philippe a démontré nombre de fois les pouvoirs qu’il avait ; à commencer par la foudre, dont on a lu récemment l’épisode avec Papus dans la cour de l’hôtel particulier de la Rue Tete d’Or
« J’ai reçu le pouvoir de commander. Si la mer menace d’avoir une tempête, je puis calmer la mer en lui disant au nom du Ciel de s’apaiser.
Je vous affirme que j’ai un grade qui me permet de pardonner les fautes. Quelque criminel que vous soyez, je peux vous donner un laissez-passer et vous irez d’un bout du monde à l’autre sans qu’on vous demande rien.
Le tribunal du Ciel est un tribunal sévère, une cour martiale. Là nul n’est censé ignorer la loi.
Il ne faut pas alléguer l’ignorance, cela ne servirait à rien ; toutefois quelqu’un peut prendre votre défense ; il y a des agréés auprès de ce tribunal et leur vêtement est tel qu’ils n’ont pas besoin de toge. Je ne suis pas autre chose qu’un de ces agréés. »
Dans le meme temps, voici ce qu’un Ami m’écrit, après avoir lu les échanges de ce matin:
« Concernant Monsieur Philippe, on ne saura jamais qui il était. Il a parlé de lui avec ce qu’il pouvait nous faire un peu comprendre, approcher.
Je serais bien incapable de parler de lui, d’une sainteté, de le comparer au curé d’Ars, etc….
En tout cas, ce n’est pas ce qu’il nous demanderait de faire, surtout s’il y a chamaillerie à ce propos…
Cette personne ajoute:
« Je lis le Haehl en ce moment et j’en suis au chapitre des “clichés”, des différents mondes, des différent types de vies, du temps relatif, d’une vie humaine entière pouvant s’écouler durant une seule nuit de sommeil…..
C’est très complexe pour nous. Il faudrait être dedans, le vivre, en faire son quotidien, être ça en somme, comme Monsieur Philippe qui n’était pas de ce monde, même s’il était au monde, pour le savoir. »
voilà ce qu’il faudrait lire sur ces commentaires!!!!!
voilà ce qu’il faudrait partager!!!
des propos de réflexions, ouverts, qui veulent partager!!!!
ils ne font de mal à personne ces propos!!!
Ne faites pas aux autres ce que vous ne voudriez pas qu’il vous soit fait
Et cessez s’il vous plait de demander à qui veut l’entendre de partir!!
ce site seul peut le demander, mais parce qu’il veut partager les paroles d’un Maitre qui a tout donné pour nous, il ne saurait être question d’accepter des départs à la demande de visiteurs
et ce quelque soit la qualité de connaissances des visiteurs.
Certaines des dernières phrases écrites ici vont être nettoyées
de plus, je vais enlever le mot s….e des messages de ce matin.
Il n’est pas question que ce site reçoive une étiquette de cet ordre ; et Nizier Anthelme Philippe, encore moins!!!
Au, plaisir? de vous lire
L’humilité du curé d’Ars lui a fait dire que c’était Sainte Philomène qui guérissait et non lui; bien que certains mettent en doute l’existence de cette sainte donc l’authenticité de ses reliques. Le curé d’Ars en possédait une mais il n’y en à plus trace actuellement.
Il demandait l’intercession de notre Sainte Mère aussi, ce qu’il faut faire plutôt qu’invoquer un saint.
Et bien pour moi, si l’anecdote et les paroles sont exactes, cela est choquant. Car quelqu’un qui a réellement du pouvoir n’a pas besoin de faire des démonstrations gratuites de sa puissance pour la démontrer aux autres.
Dans un passé récent on a beaucoup critiqué Saï Baba le maitre indien qui se présentait comme avatar (incarnation divine) qui se livrait à de telles expériences et qui fut donc accusé de charlatanisme, malgré ses millions de dévots.
En plus ce pouvoir de commander est contraire à une autre parole rapportée de Nizier-Anthèlme, qui a été l’objet d’une article par ailleurs et a donné lieu à de multiples commentaires : Je ne puis rien, je ne fais que demander à Dieu, et vous ne pouvez éprouver de soulagement dans cette salle, soit pour les maladies, soit pour alléger le fardeau qui pèse lourdement sur ce triste monde, que si vous avez fait quelque chose pour le Ciel.
Il y a donc là une évidente contradiction.
Hélène cite dans son commentaire une autre parole de Monsieur Philippe ou il dit avoir reçu le droit de commander ; alors nous faisons quoi avec ces paroles ? Nous les mettons de côté parce qu’elles nous dérangent ?
Je me suis laissé dire (et non seulement dire car j’en ai une copie écrite) qu’un livre paraitrait un jour qui démontrerait que toutes les paroles rapportées sont fausses, qui dénoncerait les imposteurs et les faussaires (ce qui parait bien dans l’esprit de Maitre Philippe…), alors pour le moment nous ne pouvons porter foi ni à des paroles rapportées, ni à personne.
Quant à moi il y a bien longtemps qu’aucune parole ne me dérange…
Quand on relit la préface du livre d’Alfred Haehl on comprend que ce dernier a eu une volumineuse documentation a sa disposition, et qu’il a fait le tri des paroles.
Donc si il y a une source incontestable sur le plan de l’enseignement de MP c’est bien celle-la.
Il cite un certain nombre d’auditeurs des séances, et donc de cahiers associes qui ont depuis été pour partie édites au Mercure Dauphinois.
Après que tout le monde ne comprenne pas les paroles de la même manière c’est un autre débat.
Olivier
Népomucène Landarosa, ce qui me paraît être dans « l’esprit de MP » comme vous le dites, c’est aussi et peut être surtout la Vérité. Si ce livre, nous éclaire sur toutes ces « impostures » et ces « faussaires », pourquoi le condamner d’avance avant de l’avoir lu? la vérité ne doit pas nous effrayer, même si elle nous dérange, du moins il me semble, surtout en ce qui concerne Monsieur Philippe et sa véritable histoire, celle que nous ignorons.
Je ne comprends pas que cela puisse vous déranger.
Visiblement, vos lunettes ne sont pas adaptées à votre vue : reprenez ce que j’ai écrit sur ce livre à paraitre. Je ne le condamne pas d’avance comme vous le prétendez : fruit de votre imagination ou, comme on dit à l’Assemblée nationale, réponse téléphonée ?
Pour vous permettre de le relire, je vous le recopie ci-dessous :
Je me suis laissé dire (et non seulement dire car j’en ai une copie écrite) qu’un livre paraitrait un jour qui démontrerait que toutes les paroles rapportées sont fausses, qui dénoncerait les imposteurs et les faussaires (ce qui parait bien dans l’esprit de Maitre Philippe…), alors pour le moment nous ne pouvons porter foi ni à des paroles rapportées, ni à personne.
Quant à moi il y a bien longtemps qu’aucune parole ne me dérange…
Vous remarquerz que je n’insulte pas daans tous mes commentaires, là nonplus je ne comprends pas pourquoi vous ne pouvez pas faire cet effort?
Ok , supposons que jj’ai fais une lecture paresseuse, alors que veut dire la parenthèse ( ce qui est dans l’esprit du Maître Philippe ..) et suspensions, les ponctuations .
Bonjour à tou(te)s,
Je me pose une question très simple, légitime et sans arrière-pensées du tout:
Monsieur Philippe Collin a écrit un certain nombre d’ouvrages sur Monsieur Philippe de Lyon.
Ils sont, semble-t-il globalement en phase avec l’ensemble de ce qui a pu être écrit par ailleurs, mis à part certains détails et parfois contradictions apparentes dans l’enseignement lui-même.
Je dis tout de suite (et j’insiste) que je n’ai aucune orientation particulière… Je ne fais que citer un auteur parmi d’autres car ma question concerne ce qui est dit sur lui et dans ses ouvrages. D’autres auteurs (vivants, bien sûr) seront peut-être concernés plus tard….
…….Donc, je me demande:
Pourquoi un (ultime?) livre de cet auteur sur Monsieur Philippe, et rédacteur d’un certain nombre de livres antérieurs concernant ses paroles et son histoire, irait démentir nombre de choses écrites auparavant par le même auteur?….puisqu’il s’agirait de dévoiler des vérités….
Cela voudrait-il dire que pour écrire ces livres antérieurs, il n’était pas en possession de documents permettant d’écrire toute la biographie et les paroles exactes? Que ce nouveau livre va infirmer des écrits présents dans des ouvrages antérieurs?
Je pense que ma question est légitime, à moins que je sois carrément à côté et que des choses m’échappent.
Si je pose cette question, c’est qu’il est difficile de se frayer un chemin pour qui veut aborder Monsieur Philippe simplement et en vérité.
>>> Si quelqu’un veut me répondre, que ce soit avec sollicitude et que ce soit aussi réellement argumenté et en connaissance de cause.
Ne vous précipitez pas……..<<<
Alors, y a t-il tant de subjectivité de la part de chacun ou tant de contradictions dans les livres, ce qui revient au même..?
Il y a forcément une part de subjectivité.
J'ai lu un peu plus haut, dans ces commentaires, que Mr Alfred Haehl a fait le tri des paroles de Monsieur Philippe pour écrire son livre.
Je trouve dans un sens que c'est dommage. J'aurais bien aimé en lire plusieurs tomes.
Et ce tri résulte d'une sélection, donc de subjectivité (mis-à-part les doublons de témoignages)….
Forcément oui: subjectivité.
On choisira les mots, les phrases, les éléments valorisants ou dévalorisants selon l'attirance ou l'aversion que l'on a envers quelqu'un, l'amitié, l'admiration ou l'inverse. Tout ouvrage est volontairement ou non, orienté.
Et nous, lecteurs, chercheurs, croyants ou non, etc… aurons nos préférences aussi pour telle version qui sera en conformité avec ce qui forme le lot de nos croyances, de notre expérience, de nos orientations……etc…. C'est à ça qu'il faut faire attention.
Ceci pour dire en résumé que ce qui peut être le plus intéressant entre nous, ici, c'est d'exprimer nos interrogations réciproques plutôt qu'exprimer nos certitudes, accepter qu'il y ait des contradictions et qu'en l'absence de documents formels, on s'en contente en attendant de trouver mieux. Et si des questions restent sans réponses, des contradictions non résolues, tant pis. L'histoire du monde en est remplie.
Et puis, on a chacun(e), je pense, beaucoup de travail avec des enseignements communs à tous les ouvrages de Monsieur Philippe, enseignements énoncés de la façon la plus simple. Et pourtant ce sont les plus difficiles à mettre en oeuvre au quotidien…. pour ces mêmes raisons de subjectivité.
Jean-Pierre
En fait je pense qu’il ne faut pas trop raisonné.
Dans l’entourage de MP plusieurs furent chargés de missions ou de devoirs divers, choisissez ce que vous préférez comme terme.
J’ai la conviction que le rôle d’Alfred Haehl était de transmettre les paroles du Maitre, donc il n’est pas question de subjectivité.
Sedir, Phaneg ou d’autres eurent d’autres missions
Je crois aussi que vis a vis de MP ils avaient des certitudes et tous le plaçaient au sommet.
Après André Savoret reprochait a A Haehl dans les années 1960 de ne pas avoir noté le nom de la personne ayant copie la parole.
Donc jamais il pourra y avoir d’unanimité sur ce sujet.
Bien a vous
Olivier
Bonsoir Olivier,
Quel que soit un sujet, si l’on n’observe pas attentivement, si l’on ne raisonne pas « un minimum », si l’on ne questionne pas, on peut se laisser entraîner dans un flou sans fin ou s’enterrer dans nos indéracinables convictions.
Vous voyez, vous dites, à propos d’Alfred Haehl, que « vous avez la conviction que »…………. »donc,il n’est pas question de subjectivité ».
J’avais demandé de me répondre si c’est réellement argumenté.
Je suis très sincèrement ravi que vous me répondiez.
Mais pour moi, ce n’est pas argumenté et ne répond à mon questionnement.
C’est une conviction, sincère et respectable mais comme chacun peut avoir la sienne.
Je vous rejoins lorsque vous observez « qu’il ne pourra y avoir d’unanimité sur ce sujet ». C’est maintenant évident pour tous, je pense…
S’il n’y a pas unanimité, il y a donc avis différents.
Avis différents donc subjectivité. On y revient.
Alors qu’est-ce qu’on fait avec cette conclusion?
On persiste ou bien on peut tous essayer de travailler la tolérance à haute dose.
Cela veut dire, en général, accepter de ne pas avoir la vision exacte, de pouvoir se tromper, de repenser à neuf, ne pas vouloir absolument conclure, donc de pouvoir évoluer et le permettre aux autres.
Je sais que chacun a son chemin différent, ce que Monsieur Philippe nomme les familles.
Mais le chemin de l’un ne nie pas forcément celui de l’autre. Il dit qu’il y a des chemins dans les chemins.
Il me semble que c’est un peu le cas ici et si l’on veut bien tous prendre un peu de hauteur, on pourra se raconter mutuellement le sien et de transmettre des avis « sous réserve » de ce que l’on peut percevoir des enseignements.
L’interrogation reste pour moi une des plus grandes qualités et me semble très proche de l’humilité.
Dans l’interrogation, il n’y a pas un « je ».
Une interrogation nait, surgit d’elle-même face à une libre observation des éléments étalés devant nos yeux.
Jésus disait d’interroger de jeunes enfants. Il ne disait pas de les instruire de nos convictions.
Cordialement à vous
Je m’attendais a ce genre de réponse.
En fait il y a une sorte de transmission orale qui existe.
Certes on pourra toujours dire qu’elle passe par le filtre de chacun, qu’elle se déforme avec le temps….
Mais mes propos sur l’ouvrage d’Alfred Haehl vont bien au delà d’une simple conviction.
Maintenant je ne puis les démontrer ou plutôt je ne le souhaite pas mais est ce réellement utile ?
Ce qui importe c’est d’essayer de mettre le message en pratique le moins mal possible.
Le reste n’est que littérature.
Bien à vous
Olivier
Ce message a fait tilt pour moi car l’évocation du filtre de chacun m’a rappelé un jeu de colonies de vacances : les gamins sont assis en rond et l’un d’entre eux dit une phrase à l’oreille de son voisin, et ainsi de suite. Et bien systématiquement à l’arrivée, la phrase n’est pas identique à celle lancée au départ !
Bonjour Olivier,
Nous sommes, pour un certains nombre d’entre nous, dépositaires de quelque chose, parfois d’enseignements à conséquences, de première main.
Mais nous avons des chemins différents sur un « même chemin ». Sinon, nous ne serions pas là, à communiquer ensemble.
Mais, concernant les commentaires, je pense que, pour le respect de la lisibilité de tous, il faut que chacun soit en mesure de prouver ce qu’il affirme. C’est un minimum. Et là, on peut avancer efficacement..
Attention, ma phrase suivante est écrite de manière générale, sans s’adresser à quiconque en particulier, comme dans les films, « toute ressemblance… » …..donc, voici:
Je me méfie d’une manière générale, des filiations, réelles ou fictives, tendant souvent à vouloir légitimer et asseoir un pouvoir ou un intérêt quelconque, de quelque sphère que ce soit, matérielle comprise.
Passant à autre chose….:
« Je sais tout mais je ne dirai rien », proclamé tout fort, ne fait pas partie de ma démarche.
Tout ne peut pas être dit, certes, et tout particulièrement dans ces domaines.
Mais dans ce cas, il faut se mettre à la place de ceux qui arrivent sur le sujet ou ne les connaissent pas bien. Peut-il vaut-il mieux les laisser aussi un peu patauger dans tout cet ensemble d’informations.
Je ne dis pas cela par manque de charité, mais il faut chercher un minimum par soi-même sans s’entendre dire que les choses sont comme ceci, point.
Liberté de chercher et de trouver par soi-même, sans influence, ou bien, le moins possible.
Donc, je souhaite ardemment ici que les échanges soient en effet étayés d’arguments vérifiables.
S’ils ne le sont pas, on l’écrit en émettant une réserve mais ils ne peuvent dans ce cas infirmer un dire.
Ainsi, on va beaucoup avancer avec une bien meilleure compréhension mutuelle.
Cordialement à vous,
Jean-Pierre
Albert Camus a dit: » L’honnêteté consiste à juger une doctrine par ses sommets, non par ses sous-produits ». En suivant cette consigne toute religion est bonne. Les occidentaux ne connaissent pas le bouddhisme dans ses divergences et les massacres qui ont suivis, les japonais qui deviennent chrétiens ne sont pas imprégnés de notre histoire inquisitrice sanglante. On a tué par amour du Christ. En fouillant dans l’histoire de chaque religion, doctrine ou voie spirituelle on se trouve face à des abhérations.
Maître Philippe demande de suivre sa religion et aussi les lois du pays où on vit. Il compare pourtant le gouvernement à une pieuvre et il dit qu’il y a peu d’hommes honnêtes dans ceux qui nous gouvernent. On peux trouver des contradictions dans les écrits se rapportant au paroles de mr. Philippe.
Faut il rester dans l’idéal?Juger factuellement mais pas personnellement. Si on analyse par sa propre expérience, celle çi évoluant jour après jours, on peut se retrouver en contradiction; suivant les événements on peut être encouragé ou désabusé. Il faut rester au sommet et non descendre, en tout, même dans les écritures.
Monter dans la chambre haute et se ressourcer.
Question à Michel avec un clin d’oeil : la chambre haute…
S’agit-il de la chambre supérieure de la pyramide de Pharaon, du lieu de la Cène, des greniers du Clos Landar ou d’autre chose ?
Bonjour Michel,
Rester au sommet,, cela me parle bien.
Je le formule par « prendre de la hauteur », dans mon langage.
Ca ne veut pas dire, se placer au-dessus des autres, mais faire un panoramique pour tout considérer avec attenton.
C’est aussi, le plus souvent possible, se délester.
Ceux qui peuvent monter le plus haut sont ceux qui ont le moins à perdre.