Lettre de Jean Chapas à Maître Philippe de Lyon

Jean Chapas Lettre de Jean Chapas à Maitre Philippe site Maitre Philippe de Lyon philippedelyon.frLettre de Jean Chapas (le caporal) à Maitre Philippe… illustrée d’une photo-portrait-dessin inédit de Maitre Philippe, de Lyon.

M Jean Chapas, adressa une lettre particulièrement émouvante, qui donne une idée du respect, de la confiance, de la gratitude et de l’amour qu’il inspirait à ses proches; à ceux qui simplement, en toute humilité, faisant abstraction de leur puissante et incontestable personnalité « laissaient parler leur coeur » illuminé par son Exemple et sa Présence…:

Pas d’en-tete

Je reconnais parfaitement que de tous les maux que j’ai, je mériterais beaucoup plus.
Je voudrais mieux faire ; chaque fois que je me suis promis cela, je n’ai pas tenu. Je vous demande, mon cher Maitre, votre aide et votre protection pour améliorer ce mal qui est en moi. C’est l’orgueil, la paresse, la gourmandise, ainsi que les autres péchés capitaux.
Je voudrais faire ce que vous nous demandez, cher Maitre ayez pitié de ma faiblesse.
S’il me faut des adversités pour que mon coeur soit meilleur, ne m’épargnez pas, car je voudrais si c’est possible, être au nombre de vos soldats..

Jean Chapas Lettre à Maitre Philippe site Maitre Philippe de Lyon portrait-photo-maitre-philippe-de-lyonJe me reconnais indigne de tout cela, même de vous demander, car je me rends compte que tout en moi ne vaut rien. Je me fais honte tellement je reconnais que je vaux peu de chose.
J’espère, mon Cher Maitre, que vous exaucerez mes demandes, dans la mesure du possible.
Votre serviteur

Pas de signature sur le livre, mais cette lettre serait de Jean Chapas.

Cette lettre illustre la relation, le respect dû à un parent dont on est très proche. L’atmosphère qui s’en dégage n’a rien à voir avec la Lettre de Papus.

Retranscription extraite de « Le Maitre Philippe, de Lyon, Thaumaturge et Homme de Dieu« , de Philippe Encausse, édition 1973…cette lettre ne figure pas, ou pas à la même page, dans l’édition de 1955. Livres figurant sur la bibliographie

source:
Photo publiée sur facebook: merci à l’auteur:
MG pour l’AMP: facebook.com/associationmaitrephilippe

C’est une photo re-dessinée par endroit car le tirage ne devait pas être assez clair pour le photographe. Photo retouchée et plus nette que l’original

34 réflexions sur « Lettre de Jean Chapas à Maître Philippe de Lyon »

  1. Très émouvant, Jean Chapas…
    Un grand enfant qui semble ne pas voir plus loin que le bout de sa canne à pêche…
    Serait-il le presque plus vieux de nous tous ?
    Lucie

  2. Lucie, bonjour
    très très pertinent ce que vous dites de Mr Chapas…
    Quant au portrait inédit, je ne pense pas que la famille apprécie beaucoup le trouver sur Facebook car contrairement à ce qui est écrit, ce portrait ne fait pas partie des archives de l’AMP.

  3. Bonjour
    Faisant partie de l’association Maître Philippe, contrairement à P. Colin, je vois pas comment et pourquoi il affirme celà, sur les archives et sur Facebook, son avis lui est personnel. Quant à  »la famille » de qui est il question?

    1. Les archives familiales sont familiales. Donc elles demandent une autorisation spéciale, que l’AMP n’aura pas.

        1. On va demander à la famille de MP. Je vous tiens informée Hélène. Au delà des guerres intestines qui se livrent au sein des groupes eux-mêmes, il vaut mieux demander à ceux qui détiennent les archives, non? A bientôt.

          1. Des archives, il y en a à Lyon, à Paris, dans les familles, dans des bibliothèques, dans des fonds privés, vous….etc etc etc……
            Exact, à qui puis-je demander????
            J’espère que les familles savent ce qui se passe, qu’elles savent pour ce site, qu’elle n’hésiteront pas à me contacter, ne serait-ce que pour dire qu’il faut enlever, s’il faut enlever. Je respecterai.
            Je n’ai jamais fermé ma porte à qui que ce soit.
            Je suis plus que navrée, pour ne pas dire choquée de ces querelles…….

            1. il ne s’agit pas de querelles. On laisse aux chapelles ce genre de bienveillances. Il s’agit de droit à l’image, c’est tout. Ce droit à l’image est légiféré.

          2. Peut-être faudrait-il prier pour cette famille qui détient des archives d’ordre privé.
            Les affaires familiales jetées en pâture sur la place publique…
            Philippe… On peut s’interroger ???
            De quoi méditer en somme…
            Voilà qui en dit long…
            Prions pour ce qui doit rester d’ordre privé, en notre âme et conscience.
            Bonne soirée.
            Fraternellement
            Lucie

            1. Tu as raison Lucie…..je vais garder ce portrait…magnifique en privé
              Je vais continuer avec les photos qui se trouvent sur le net

              j’espère non seulement que cette situation évoluera mais que j’aurai le plaisir en effet d’avoir accès à des données que je garderai alors à titre privé ….sauf indication précise contraire

            2. Lucie, je suis complètement de votre avis. « Le Livre des Etoiles » restera d’ordre privé, je vous le promets.
              Philippe

  4. Bonjour,

    A mes yeux, l’Humilité exceptionnelle de cette lettre est non seulement la plus sincère qui soit, mais également empreinte d’une Admiration sans bornes, de Jean Chapas pour Maitre Philippe.
    Les mots ne sont pas calculés, comme ceux de la Lettre de Papus adressée elle aussi à Philippe de Lyon….
    Les mots ne sont pas calculés, juste parce qu’ils sortent du Coeur.
    Jean Chapas exprime son Coeur, avec les mots les plus simples, simplement parce que ce qui sort du Coeur n’a pas besoin de complication (c’est mon sentiment).
    Chapas a l’impression réelle et sincère de ne pas en faire assez. Son Humilité est immense.
    Il demande le plus sincèrement et le plus humblement possible à Maitre Philippe de l’aider.

    On est vraiment loin de la Lettre de Gérard Encausse…..

    Pour le portrait.
    Personnellement, quand je l’ai découvert sur facebook, ce fut une double révélation:
    ce portrait est, à mes yeux, magnifique, c’est une des rares fois où je vois un portrait aussi grand. Sur cette page, il est en format réduit, mais il est en format a4.
    ensuite, ce fut un choc……je voyais les yeux de Maitre Philippe, pour la Première fois !!!!!
    La plupart des portraits sont si sombres que je ne vois que du noir…ou du gris pour les photocopies de photocopies….

    Si une personne de la famille, ou de l’entourage proche estime que ce portrait n’a pas à figurer sur ce site, soyez certains que je l’enlèverai.
    Je ne le garderai alors qu’à titre personnel. Et c’est déjà un très beau cadeau, à mes yeux.
    Je précise que ce portrait ne m’a pas été offert. Je l’ai vraiment pris sur le réseau social.

    Bien à vous
    Hélène pour Maitre Philippe de Lyon

      1. un an et demi plus tard…….
        les données ont bien changé
        ….c’est extrêmement étonnant d’ailleurs, parce que j’ai relu ce commentaire…..ces jours-ci, et……
        les données ont vraiment beaucoup bougé et changé

        1. Reprenant la totalité des commentaires de ce site pour d’autres raisons, je suis surpris de lire les échanges qui ont eu lieu ici quant à des droits sur une photographie. Ces droits existent et sont toujours gérés par la Convention internationale de Berne de 1886 (et oui !) révisée et complétée maintes fois (la dernière en 1979) ; les pays signataires étaient au nombre de 165 en 2012.
          Et il en résulte que les droits sur une photographie sont limités à 70 ans ; de plus ils ne concernent pas les possesseurs mais les auteurs et leurs ayants-droits !
          Donc se prétendre ayant droit sur une photographie que l’on possède est un abus et n’a pas de validité, si ce n’est pour faire peur… On en a l’exemple précis justement dans le dossier Philippe où certaines photos dites inédites se retrouvent identiques entre les mains de plusieurs personnes ! L’explication en est peut-être qu’un commerce en a été fait, certaines photographies ont pu être reproduites et même vendues à des personnes différentes…
          Et que l’on ne vienne pas se cacher derrière un droit moral dans un dossier où la morale n’existe pas.

  5. Il me semble que le vrai problème, la seule question qui se pose dans le domaine spirituel, qu’il s’agisse d’une personne ou d’un groupe, est celle-ci : cette personne, ce groupe, tient sa légitimité de qui ? Après chacun peut faire ce qu’il veut, des groupes, des réunions… est à l’œuvre souvent là beaucoup de bonne volonté, mais cela ne donne pas, et ne donnera jamais une légitimité.

    Je crois que c’est de cela dont nous parle Mr Collin par rapport à cette photo.

    Mr Collin pourrait-il d’ailleurs nous donner sa définition de la légitimité ? Je crois que cela pourrait nous aider quand nous sommes confrontés à des rencontres avec des groupes, ou des personnes, et à leurs actions, et qui se revendiquent d’une filiation avec Maître Philippe.

    1. Pour ma part je pense que le seul problème qui se pose c’est de savoir si ce groupe permet aux individus qui l’approchent de progresser sur le chemin de l’amour du prochain.
      Après la relation à MP est un sujet personnel et individuel. Approcher ou faire partie d’un groupe ne garantit rien, seul compte le travail sur soi ce que Marc Haven appelle « la trempe du moi ».
      Quand a la légitimité, il faut bien différencier la légitimité historique de la légitimité spirituelle.
      Autant on peut avoir quelques certitudes sur la première, autant c’est plus difficile sur la seconde.

      Olivier

  6. Bonsoir, si je peux me permettre, aucun groupe ou association n’a de filiation avec Mr Philippe. Elle peut la revendiquer mais il n’y en a pas. C’est ainsi depuis de Mr Philippe est parti en 1905. Si j’ai bien tout compris il n’y a qu’une filiation spirituelle d’homme à homme, Mr Philippe, Mr Chapas, etc, qui n’ont fait parti d’aucun groupement.
    Après les associations, les groupes, peuvent faire croire à ce qu’ils veulent, c’est tout de même compter avec la naïveté de leurs adhérents, non?

    1. Je crois pouvoir avancer que Papus a demandé une « filiation » pour l’école de magnétisme, et pour l’ordre Martiniste.
      Pour les Amitiés Spirituelles de Sédir, il avait demandé à Philippe qui lui a répondu de continuer ses conférences tant qu’il y aurait du monde et qu’il aurait toujours quelque chose à dire.
      Ils avaient, je pense besoin de cette sorte de légitimité puisque Monsieur Philippe critiquait ces « groupes »
      Papus et Sédir voulaient la caution spirituelle et morale
      Papus a dû …insister

    2. N’oublions pas  » L’entente amicale évangélique » de Phaneg. Au vue de ce que Mr Collin nous en a dit dans son ouvrage : l’Esprit qui peut tout, il semble bien que le Maître y était présent et actif.

    3. Il est dans la nature humaine de vouloir se prendre pour ce qu’on n’est pas nécessairement.
      C’est l’orgueil, et je pense que les collectifs par un sentiment d’appartenance injustifié, peuvent augmenter ce travers qui est en chacun.
      Je crois aussi que MP et Mr Chapas sont réellement des êtres à part. Mais plusieurs dans leur entourage ont capté une partie de leur rayonnement (voir les Lueurs Spirituelles de J A R).
      Ils n’ont donc pas réellement de filiation au sens strict mais je pense qu’à l’époque les approcher pouvaient aider à progresser.
      Si on prend l’exemple de Savoret (que visiblement vous connaissez), il n’a pas connu MP, pas ou alors très peu Mr Chapas. Or crois qu’il avait vraiment reçu quelque chose et qu’il a aidé beaucoup de monde a trouver le Chemin.
      En revanche il ne correspondait pas à tous les profils, d’où tensions avec d’autres, qui eux aussi avaient pourtant reçu quelque chose également !
      Et l’histoire est un éternel recommencement.
      Sauf que ces anciens avaient une détermination dans la pratique de l’enseignement de MP que nous avons vraisemblablement moins dans notre monde moderne.
      Enfin pour répondre a la question je pense que ça dépend des groupes et des associations, voir des membres qu’on rencontre.

      Olivier

  7. Pour Papus, il a demandé le « parainage » des martinistes en baptisant Martine la fille de MP qui s’appelait en réalité Victoire Chapas.
    Pour Sédir, il lui a dit de continuer à « révéler » l’Evangile en 1903 en conférence et les Amitiés Spirituelles datent de 1920… contexte s’il vous plait, contexte, toujours…

    1. Bonjour Philippe,
      Une petite erreur s’est glissée, enfin…Il me semble…
      Martine la fille de Jean Chapas, qui n’a pas survéçue…
      Personnellement, ma soeur s’appelait Martine.
      Sa mort a bouleversé ma vie.
      On était pourtant comme chien et chat…
      Comme quoi, on a beau savoir pleins de choses, certaines épreuves nous accablent et nous transforment.
      Bonne journée oeuvrante.
      Fraternellement
      Lucie

  8. Jean Chapas a fait un travail assez extra-ordinaire dans sa propriété dite le Couvent Santa Maria voisine du Clos Landar. Sauf que…cette propriété ne s’appellait pas le couvent Santa Maria mais l’ancien couvent des Ursulines. Voilà encore un petit arrangement avec la réalité qui permet d’embellir les choses à la mode Philippe, et toujours dans le non-dit : vous vous rendez compte de ce hasard ? Un couvent au nom de la Sainte Vierge à côté du Clos Landar et de surcroit propriété de Jean Chapas !
    Laissons plutôt la parole à Max Camis, et voilà pourquoi l’ancien couvent fut rebaptisé ainsi :
    Monsieur Philippe avait désigné une certaine personne, Mademoiselle Santa Maria, pour faire l’achat d’un couvent désaffecté sur la colline de L’Arbresle, aux côtés de sa demeure.Quoique pauvre, cette femme, obéissante, alla chez le notaire le jour de la mise en vente malgré des douleurs de tête, un capuchonnage la rendant méconnaissable. A la mise à prix, elle augmenta timidement de 50 francs. Jusqu’à l’extinction de la traditionnelle bougie, le silence régna, car tous les gens présents pensaient que la mystérieuse acheteuse était une religieuse venant récupérer l’ancien couvent.
    Elle ne resta pas longtemps propriétaire, car elle mourut peu après, léguant les lieux à Monsieur Chapas, qui abandonna les bords de la Saône . et la pêche pour venir habiter cette peu avenante maison

    1. Et, comme les autres, Mademoiselle Inès de Santamaria a été victime des fantaisies délirantes des agents de recensement !
      En 1906 elle se trouve au foyer des Lalande (aux Collonges) née en 1844 en République Dominicaine, et en 1911 elle vit dans le foyer Millet (toujours aux Collonges) née en 1846 de nationalité Américaine !!!
      Décidément ces recenseurs, partout où ils soient, à l’Arbresle ou en différents lieux de Lyon et à différentes dates, semblent avoir toujours eu la main lourde quant à Monsieur Philippe, sa famille ou son entourage !…

      1. Et pour continuer sur le même sujet, il apparait que décidément tout ce qui touche aussi bien Nizier-Anthèlme Philippe que jean Chapas a été l’objet de manupulations parfois évidentes comme celle-ci : un ouvrage fort intéressant par ses illustrations (le plus souvent le fonds Delorme) est paru en 2000, publié par les éditions Sutton et intitulé L’Arbresle et ses environs. Cet ouvrage remercie pour leur collaboration de nombreuses personnes de l’Arbresle et de ses environs, connues ou moins connues, qui ont donc participé aux informations de et ouvrage.
        Il est d’abord à remarquer que pas une seule fois le nom des Philippe n’est cité et encore moins ceux de leurs amis comme Chapas.Et nous pouvons y lire une version totalement inédite (pour l’année 2000) sur le Couvent des Ursulines, tellement inédite qu’on ne le retrouvera nulle part…NO COMMENT …
        Entre 1840 et 1905, des religieuses Ursulines venues de Saint Symphorien-le-Château occupent un ancien pensionnat situé sur le coteau des Collonges, à l’emplacement de l’actuelle maison de retraite. En 1907, madame Santa-Maria met à disposition sa propriété pour soigner les victimes de l’épidémie de typhoïde, puis un hopital militaire s’y installe entre 1914 et 1918

        1. Nous avons eu la possibilité de consulter ce livre, qui nous a réservé une autre petite surprise:
          Figure entre autres illustrations, une photo de la compagnie des Sapeurs Pompiers de l’Arbresle.
          Qu’est ce que cette allusion fait, sur le sujet Philippe de Lyon, me demanderez-vous?
          Et bien simplement, que cette même image figure dans les différentes récentes éditions du livre « Maitre Philippe, de Lyon, Thaumaturge et Homme de Dieu, ….. » comme présentant Monsieur Philippe, en tant que Capitaine de ce même corps de Sapeurs Pompiers…..A ceci près, que l’illustration publiée dans les livres, est alors re-cadrée sur la seule personne du capitaine, posant devant la compagnie. Mais sans soucis, nous reconnaissons la photo.
          Nous précisons ici, que nous faisons partie des personnes, émettant de notables doutes sur le fait que Nizier Anthelme Philippe soit en quoi que ce soit, le capitaine, en tous cas présent sur cette photo.

          1. Et le dit ouvrage apporte en commentaire l’explication suivante :
            la compagnie de sapeurs-pompiers de l’Arbresle (ici vers 1880) est constituée en 1858. Les officiers étaient nommés par décret de l’Empereur, les sous-officiers et les sapeurs relèvent de l’autorité du Maire. Choisis de préférence parmi les anciens militaires ou des professionnels du bâtiment, ils ont pour mission l’extinction des feux mais aussi éventuellement le maintien de l’ordre public.

            1. Il serait fort intéressant, et en même temps une preuve de sérieux, qu’une fois encore, au lieu d’affirmer sans preuves dans toutes les directions, les auteurs donnent aussi bien les dates précises des nominations, tant à la Mairie de l’Arbresle que pour les Sapeurs-Pompiers ! Car on oublie un peu trop vite que ce fut une époque où la France changea plusieurs fois de Régime : de 1848 à 1852 ce fut la seconde République, de 1852 à 1870 le second Empire et la troisième République depuis 1870 (à 1940). Oublier ces notions, c’est pratiquement prendre le lecteur pour un benêt et oublier que ces trois régimes eurent des modes de gestion municipales différents où la notion de pro-régime fut importante. Et lorsque nous aurons les dates exactes des fonctions de N-A. Philippe nous comprendrons mieux certains éléments de sa vie notamment sa vision impériale ou républicaine des choses !

              1. Et j’ajoute qu’en effet, né en 1849, il parait fort difficile que Monsieur Philippe ait eu à faire partie de l’Administration impériale, mais il faut savoir ensuite que pendant la seconde République il y avait encore les partisans de l’Empire (et même de la Monarchie !) faisant opposition aux partisans de la République. En résumé, que sait-on de ses opinions politiques, sans tomber sur les habituelles pérégrinations de « on dit que » ou « untel a dit que », dont on a trop souffert …

    2. Max a dit : …que la mystérieuse acheteuse était une religieuse venant récupérer l’ancien couvent… Il sous-entend aussi que le batiment était en ruines par couvent désaffecté…Confirmé par d’autres témoignages sur l’état désastreux du Couvent.
      On constate facilement que ce n’était pas le cas en consultant une carte postale réellement de l’époque ! D’autre part, personne n’explique au public pourquoi les Religieuses ne l’occupaient plus : on venait de traverser une période violemment anti-cléricale où bon nombre de Communautés religieuses furent expulsées, souvent violemment, de leurs installations et même persécutées par l’exil ou la prison. Une époque peu glorieuse…Et s’en suivit une vague de spéculations immobilières fort importantes pour le rachat des biens ; cela serait donc le cas à l’Arbresle et il ne fait aucun doute que Melle Santamaria a agi sur ordre du Maitre du Clos et peut être même avec son argent.

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