Nizier Anthelme Philippe de Lyon dans un poème hommage qui pourrait aussi bien s’intituler
Remerciez donc le Ciel, pour lui seul vos prières
Vers un hommage Remerciez donc le Ciel, pour lui seul vos prières que Le Ciel est éternel, et Dieu est tout Amour
A vous de choisir
A vous ami lecteur, je viens écrire ici,
D’Anthelme Nizier Philippe Vachot de nom
Les bontés, dons et vertus par Dieu mises en lui
Etonnant ses parents et tous les environs
De son enfance simple, rien ne transparait
Surprend, ou nous intrigue, qui devinerait…?
Que cet enfant, béni, par le Saint Curé d’Ars
Serait porteur vivant d’une telle nouvelle
Tant au Rubathier, que dans d’autres paroisses
Comme bientôt à Lyon, et au delà d’elle
Un homme, guérit notre corps, nos angoisses…
Tous le clament partout: « cet homme nous vient du Ciel »
Quel don lui à permis, de nous ôter souffrances…?
Et en nous regardant, faire fondre notre Cœur
Jusqu’à nous révéler, ces obscures errances
Dont souffrent toutes les âmes, des corps qui ont douleur
Partout, il est allé, soigner et puis guérir
De la plus humble cabane, à la maison de Maître
Il guéri des Rois, des Princes et des Empires
Lui furent à ses pieds mis , il à su les remettre
Priant pour les humbles, et tous ceux qui sans dire
Un seul mot religieux, n’avaient que leurs regards
Et témoignaient au Ciel, de l’extase d’un soupir
Pour être soulagés et savourer l’Espoir
Qu’il y eût pour tous ce Dieu, qui nous fut annoncé
Mais dont les malheureux, ne voyaient jamais trace
Monsieur de Lyon à su en générosité
Et compassion unies, mettre fin aux disgrâces
De nombre de nos semblables, par delà nos frontières
Illustrant à propos que le Verbe s’est fait vivace
Et que la pire affliction, ne saurait point le taire
Il est là notre Dieu, il vit en nous Toujours
Et à jamais, croyez le bien mes frères
Le Ciel est éternel, et Dieu est tout Amour
Remerciez donc le Ciel, pour lui seul vos prières.
L’épreuve majeure pour lui, vint par son enfant,
Et sonna pour lui, un glas, signe de désespoir
Lorsque à l’orée d’un siècle nouveau et grand,
Périt, sans qu’Il agisse, sa douce fille Victoire.
Les hommes sont étranges, tous nous le savons
De Marseille, jusqu’au Gange et sur toute la Terre
Ils jalousent les talents que leur servent des Anges
Qui viennent, parmi nous, par je ne sais quel mystère.
Lui qui sauva tant d’êtres, sans compter leur erreurs
Pour la vie de sa fille, ne put défier le Père
C’était ce qu’il sentait, au plus secret du Cœur,
Sa fille était sa joie, cadeau de vie, si belle
Il ne put la retenir, sur terre auprès de lui,
Elle à du s’envoler, ainsi le veut le Ciel
Mais lui, si humain, s’est alors éconduit
Des joies de l’existence il prit donc congé
Soulagea des souffrances, et puis instruit aussi
Afin que d’aucuns parmi nous témoignassent
Il écrivit des livres, publiés à l’envi
Laissa un condisciple, du nom de CHAPAS
Et puis aménagea, son départ vers ce LUI.
Tel était ce Philippe, dit Monsieur de Lyon.
Mage, ou guérisseur, un mystificateur….?
Il à parlé à l’Homme, des réincarnations
Bousculant là-aussi, les dogmes de l’Eglise
L’Ordre des Médecins, lui fit obstruction
Guérir sans payer, n’est pas chose permise,
Démystifier la Mort, condamne le goupillon.
Il à bien dérangé, cet homme peu commun
Ses ennemis furent nombreux, et tenaces,
Mais il est vrai qu’ici, sur cette Terre, tout passe
Et qu’au soir de sa vie, qui fut emplie du Bien
Il laissa, tout un peuple, plongé dans la disgrâce
De se savoir quitté, par cet homme qu’on dit Saint
Au 2ème jour d’août, l’été, battant son plein
Maître Philippe, se lève et tourne un peu en rond
Puis, son corps s’effondre, cela fut si soudain
Que sa maisonnée, éplorée les yeux emplis du sel
Des larmes, de regret, de voir partir si tôt
Ce Maître si aimant, du domaine de L’Arbresle
Restèrent dans le souvenir, qu’ils diffusèrent alors
Perpétuant une Œuvre, jamais interrompue
Soulager l’être humain, de ses misères et maux
Aimons nous, entre tous, sous l’auspice du Très Haut
auteur: Egidio
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