Dimanche des rameaux, Un sonnet lu pour la fête du Maître Philippe de Lyon.
Cher Bienfaiteur, mon Ange gardien m’a dit :
Va mon enfant chéri, va toi le plus petit
Parler bien doucement, comme dans ta prière,
A l’apôtre Divin que Dieu mit sur la terre.
Au nom de tous, dis-lui que le sien est béni,
Que notre coeur lui donne un amour infini ;
Dis-lui que sa grande âme, enfant nous est bien chère,
Qu’il est notre Sauveur, notre bienveillant père.
Pour célébrer sa douce et sainte fête,
Ouvre ton coeur, joins les mains, sois poète,
Dis, pour nous tous, en accents très émus :
O Maître aimé votre beau front rayonne,
D’une éclatante et céleste couronne,
Auréole d’Amour faite de vos vertus.
Auteur inconnu
Ce texte aussi est un vibrant hommage à Monsieur Philippe qu’il nous parait légitime d’inscrire sur ces pages.
Certains éléments de ce poème, comme son contexte, feront l’objet d’articles. Il est volontairement seul proposé ici.
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